Une envolée d’étoiles

Texte de Jacques Lanciault

Punta Cana, République Dominicaine, samedi, le 26 avril 2003 - Le vol 754 d’Air Transat qui amenait sa fournée de touristes québécois vers les plages de sable blanc de Punta Cana, en République Dominicaine, a connu une agitation peu commune aujourd’hui le samedi, 26 avril 2003. Dans tous les couloirs de l’aéroport de Mirabel, depuis les petites heures du matin, une rumeur circulait, selon laquelle les vedettes adorées de « Star Académie » seraient du voyage.

Les flashs des caméras des voyageurs ont crépité et les demandes d’autographes et de dédicaces se sont multipliées dès que les premiers académiciens se sont présentés au comptoir d’Air Transat.

Puis, lorsque les idoles de tout le Québec se sont présenté pour l’embarquement en ce samedi où la pluie inondait le paysage laurentien, le Soleil n’aurait pas pu mieux réchauffer les cœurs des voyageurs, qui ont tous frissonné de plaisir à l’idée de partager le même avion que les vedettes qu’ils adulaient depuis déjà plus de deux mois.

Le commandant du vol, dans son mot de bienvenue aux passagers, a bien évidemment souligné la présence des académiciens, qui contrairement à leur dernière apparition en public, au stade olympique, ont été chaudement, mais très chaudement applaudis.

Durant les quatre heures qu’a duré le vol, les regards des passagers se sont souvent retournés vers la queue de l’appareil où avaient pris place la majorité des Stars qui se dirigeaient vers le Club Med de la République Dominicaine.

À l’arrivée, après les applaudissements d’usage à l’endroit du commandant Lortie qui a posé son oiseau géant sur la piste où brillait un soleil de plomb, les passagers ont pris leur premier bain de soleil. Encore là, les appareils photo se sont remis à crépiter de plus belle.

Après la présentation des papiers d’identité aux douaniers dominicains et suite à la récupération des bagages, une autre surprise attendait nos jeunes premiers. En effet, une haie d’honneur formée de Québécois déjà en vacances au Club Med les attendait et évidemment, ces jeunes de chez nous chantaient la maintenant traditionnelle ritournelle de Stéphane Venne : et c’est pas fini...