Mai/050
Dégat : on casse un litre et demi de vin et on perd une serviette de plage
Carnet de voyage : texte photos de Jacques Lanciault
Sarasota, Floride, États-Unis, vendredi, le 27 mai 2005 – Un ciel bleu exempt de nuages nous attendait ce matin à notre réveil. Qui plus est, Éric Gagné avait sauvegardé sa première victoire de la saison au cours de la nuit.
Après avoir été répondre à quelques courriels et avoir pris connaissance des derniers résultats de la LBÉQ, direction la plage. Ce matin, destination Siesta Key Beach, encore parce que c’est vraiment la plus belle plage. Le trajet sera moins long maintenant que nous avons découvert que la route 41 passe à deux pas de chez nous.
Arrivés à la plage vers 10 h 30 min. Il y a déjà beaucoup de monde, mais ce n’est rien à comparer à combien il y en aura vers midi.
Longue marche jusqu’au bout nord de la plage. Déjà les rayons du soleil ont commencé à griller notre épiderme. De retour à nos chaises, nous nous sommes baignés, impossible de s’en passer.
Lecture et bronzage jusqu’à 12 h 45 min. Au fur et à mesure que le temps passait, la plage qui est très large, à mon avis plus de 1 000 pieds, se remplissait. Lorsque nous avons quitté pour la villa, le stationnement était plein et des voitures, beaucoup de voitures, circulaient dans les allées à la recherche de place, comme chez nous dans les stationnements durant la semaine précédent Noël.
Petit détour au Publix avant la maison. Achat d’eau, de vin, de pain, etc. Finalement, je stationne l’auto dans le garage. C’est obligatoire et fort commode, l’auto est stationnée à moins de cinq pieds du comptoir de la cuisine.
Je descends les paquets, les dépose sur le comptoir, puis me retourne pour fermer la porte intérieure du garage. En me retournant, mon œil aperçoit sur le comptoir un sac qui roule, mais, mon mouvement vers la porte du garage est amorcé. Impossible de faire demi-tour. Trop tard d'ailleurs, car le sac a amorcé sa chute en bas du comptoir. Un seul item dans le sac : mais quel item… un litre et demi de vin, une chance du blanc.
Une trentaine de minutes pour ramasser le dégât!
Résolution : plus de sacs de plastique et, de plus, Céline et moi travaillerons désormais en équipe au déchargement de la voiture.
Lorsque le plancher est de nouveau sec, je retourne à l’auto récupérer les serviettes de plage. Zut! J’en ai échappé une, probablement sur la plage, une serviette acquise il y a près de 30 ans (1976) en Virginie. Nous avons pleuré.
Après le dîner, piscine. Celle des résidents; on s’est faits expulsés. Puis, piscine du Timberton et découverte du sundeck. Très plaisant.
En soirée, retour à St-Armand’s Circle. Il y a un spectacle de jazz. Nous soupons au « Colombia », sur la terrasse, en fait sur le trottoir. Bon, mais fort dispendieux.
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