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Août/10
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Succulent dîner dans le « bunker » de Staline et spectaculaire tournée du métro de Moscou!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 6e d'une série de reportages sur une féerique odyssée en Russie au tout début de l’été 2010.

L’entrée du « bunker » de Staline, Moscou, Russie.

Moscou, Russie, dimanche 20 juin 2010 — Après avoir été éblouis par les belles cathédrales du Kremlin, nous y allons d’une petite balade hors du centre-ville de la capitale russe, et ce, pour prendre le dîner dans un restaurant situé dans ce qui fut au cours de la Deuxième Guerre mondiale le « bunker » de Staline. Aujourd'hui s’y trouvent un petit musée et un restaurant à la cuisine géorgienne délectable. Puis, sur le chemin du retour, une excursion dans le métro moscovite, et oui, car le métro de Moscou est sans l’ombre d’un doute une des belles attractions touristiques de la ville.

Notre photo : Tout autour de l’entrée du souterrain où est situé le « bunker » de Staline, d’anciens chars militaires sont exposés!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n'importe laquelle des photos.

Notre visite des cathédrales du Kremlin terminée, nous retournons à l’autocar en retraversant la place du Manège par laquelle nous sommes arrivés ce matin. Nous reprenons la route à 11 h 30 en direction du marché « Vernissage » situé à Izmaïlovo, à quelque 17 kilomètres du centre-ville de Moscou.

Sur notre route, nous revoyons le théâtre du Bolchoï et l’ancien bâtiment du KGB qui est aujourd’hui l’édifice de la sécurité nationale et nous traversons un quartier, datant du XIXe siècle, qui compte trois églises catholiques, une église protestante et plusieurs mosquées et synagogues.

Alors que nous sommes presque arrivés à destination, nous passons devant ce qui fut jadis un palais d’été des tzars, un endroit où Pierre le Grand passa plusieurs étés de son enfance. C’est magnifique!

Le « Vernissage »
Finalement, trente minutes de route auront été requises pour nous rendre au marché public d’Izmaïlovo. C’est comme un immense marché aux puces. Nous devons payer pour y accéder, mais, comme pour pratiquement toutes les visites de notre voyage, les droits d’entrée sont inclus dans notre forfait!

C’est une panoplie d’objets des plus hétéroclites qui se retrouvent bien en vue sur les étals des deux allées du marché : matriochkas, boîtes laquées, affiches de l'ex-Union soviétique, porcelaines de Saint-Pétersbourg, vêtements militaires, vieux papiers et bouquins, chapkas, icônes, vieux appareils photo et même des timbres postes de plusieurs pays de l’ex-bloc soviétique pour les collectionneurs!

Marché aux puces d’Izmaïlovo, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Une des deux allées d’étals du marché aux puces d’Izmaïlovo.

Marché aux puces d’Izmaïlovo, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : L’artisanat… produit en série!

Marché aux puces d’Izmaïlovo, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : De charmantes dames en costume folklorique… prêtes à se faire photographier moyennant quelques roubles.

Marché aux puces d’Izmaïlovo, Moscou, Russie.

Marché aux puces d’Izmaïlovo, Moscou, Russie.

Photos ci-dessus : Un merveilleux château digne de « Disney » jouxte le marché aux puces d’Izmaïlovo.

Finalement, après avoir très peu acheté, nous remontons dans l’autocar. Il est tout près de 13 heures et dans quelques minutes nous avons rendez-vous pour la visite du « bunker » de Staline, tout près d’ici. Le bunker abrite également un excellent restaurant de spécialités géorgiennes, « Chez Staline », c’est là que nous dînerons.

Bonne fête des Pères!
Notre accompagnatrice, Roxanne, profite de notre présence dans le car pour distribuer à tous les hommes du groupe un petit verre à vodka affichant le fameux aigle à deux têtes des Romanov, et ce, pour souligner la fête des Pères.

Cadeau de la fête des Pères, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Notre beau cadeau de la fête des Pères. Merci de l’attention Roxanne. C’est très apprécié.

Le bunker
En moins de dix minutes, nous arrivons au « bunker » de Staline, situé tout à côté du marché, sous un terrain adjacent à un ancien stade du « Locomotiv », l’équipe de football (soccer) de Moscou.

La route qui nous mène à l’entrée du bunker est en pente, nous amenant à la porte d’un souterrain sise, je dirais, à quelque sept ou huit mètres sous le niveau du stationnement. Face à l’entrée du souterrain, plusieurs chars d’assaut d’une autre époque décorent le paysage.

Entrée du bunker de Staline, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Un logo… ma foi très bien conservé!

Entrée du bunker de Staline, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Un char d’assaut qui ne doit pas avoir beaucoup de kilomètres au compteur… du moins si l’on regarde l’usure des pneus!

Nous entrons par le souterrain. Dans le hall qui nous mène à la salle de conférence, il y a une exposition d’uniformes des armées hitlériennes et soviétiques. Il y a de nombreux mannequins vêtus de vieux uniformes.

Nous arrivons dans la salle de conférence, il y a une immense table ronde qui servait à Staline lors des rencontres avec son état-major. Tous les membres du groupe prennent place autour de cette table magnifique.

Table d’où Joseph Staline présidait les réunions de l’état-major de l’armée, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Table d’où Joseph Staline présidait les réunions de l’état-major de l’armée.

Tatiana, notre guide, nous brosse un résumé de la Deuxième Guerre mondiale telle que vécue du côté russe. « Celle-ci a commencé le 22 juin 1941. Moscou a alors été la cible de nombreux bombardements de l’aviation nazis. Pourtant, avant le déclenchement des hostilités, les deux pays collaboraient, et ce, même sur le plan militaire. De nombreux officiers allemands étudiaient à l’université de Moscou.

À cette époque, la Russie n’était absolument pas préparée à participer à une guerre. Le pays s’investissait presque exclusivement à l’agriculture, et ce, même si l’on pouvait noter un début d’industrialisation. Le pays avait peu ou pas d’infrastructures.

À Moscou, la construction du métro a commencé en 1935. Presque en même temps, à Izmaïlovo, on y allait de la construction du stade du parc Izmaylovsky qui devait accueillir l’équipe de football du “Locomotiv Moscou”. Les Russes ont profité de la construction du métro et du stade pour commencer à aménager, en parallèle, à huit mètres de profondeur, la ville souterraine dans laquelle nous nous trouvons actuellement. »

Tatiana nous dressant un bref portrait de la Deuxième Guerre mondiale en Russie, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Tatiana nous a parlé avec émotion de la Deuxième Guerre mondiale en Russie.

Le bunker a été construit… ainsi qu’un tunnel long de 17 kilomètres menant au Kremlin.

Ici, tout a été prévu afin que 2 000 personnes puissent tenir un siège d’une année.

Ce sont des prisonniers politiques qui auraient constitué la main-d'œuvre pour construire le long tunnel. Il y aurait eu des milliers de morts durant la construction. Et lorsque le travail a été terminé, les survivants auraient été fusillés afin de préserver le secret quant à cet abri.

Ce n’est qu’en 1990 que le « bunker » a été découvert. On a alors décidé d’en faire un musée. »

Ce qui étonne dans toute cette histoire, c’est qu’en effectuant nos recherches dans les guides de voyages et sur Internet dans le but d’en savoir un peu plus sur cet endroit… nous n’avons rien trouvé, si ce n’est une mention sur le blogue d’un touriste, qui comme nous, raconte sa visite au bunker. Rien dans le guide Voir sur Moscou datant pourtant de 2007, rien sur Wikipédia, rien nulle part… comme si le bunker n’était que la salle d’attente d’un restaurant privé!

Même la publicité de l’Hôtel Izmailovo Vega de Moscou situé tout près du « bunker » définit son emplacement comme suit : « Situé dans la capitale russe, l'hôtel Izmailovo Vega de Moscou est implanté sur le site d'un ancien village, Izmailovo, près de la station de métro Partizanskaya. Le parc Izmaylovsky, le stade Lokomotiv et le château de Kouskovo figurent parmi les sites d'intérêt des environs. »

Aucune mention du « bunker »!

Vraiment curieux! Si par hasard vous lisez ce texte et que vous possédez de l’information et des références sur le sujet, surtout n’hésitez pas en laissant un commentaire au bas de cette page Web!

Dans la salle de conférence où nous nous trouvons, il y a une scène où aujourd’hui il y a des spectacles donnés par de petits groupes folkloriques. À l’époque de la guerre, précise Tatiana, on y avait installé une grande carte de la Russie pour étudier le mouvement des troupes.

Buste de Joseph Staline dans la salle de conférence du bunker, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Un buste du maître des lieux.

L’acoustique de cette salle est exceptionnelle. Tatiana nous raconte que Staline avait personnellement exigé cette qualité de la part des architectes, car suspicieux envers les membres de son état-major, il voulait en tout temps entendre ce dont ils discutaient entre eux.

Tatiana nous invite à nous rendre, tour à tour, au centre de la salle pour vivre l’expérience de cette acoustique… et avouons que de tout entendre les sons de la salle et la qualité du son émis par nos propres paroles, lorsque nous nous exprimons, sont particulièrement étranges.

Buste de Mikhaïl Koutouzov, dans la salle de conférence du bunker, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Outre le buste de Staline, il y a également ceux de Mikhaïl Koutouzov, qui fut général en chef des armées de Russie sous le règne du tzar Alexandre 1er et vainqueur de Napoléon 1er en 1812, et de Alexandre Souvorov, qui lui fut général russe invaincu sous Catherine II. Notre photo représente le buste de Mikhaïl Koutouzov.

Nous amorçons la visite du bureau de Staline transformé en musée! Sur une table de travail, il y a trois anciens téléphones noirs, un cendrier contenant une pipe et divers articles de bureau. Sur une petite table dans un autre coin, il y a un jeu ressemblant à un jeu d’échec, mais c’est un jeu de guerre. Ce serait un cadeau de la Pologne.

Sur les murs des photos de Lénine et de Marx sont accrochées.

Vers 13 h 45, on nous indique que la visite est terminée et que nous pouvons passer à la salle à dîner, dans la pièce attenante. Nous entrons dans le restaurant « Chez Staline ».

Tout autour de la salle à manger, il y a des vitrines où sont exposés divers objets reliés à Staline et à son époque.

Salle à dîner de Chez Staline, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Salle à dîner décorée d’objets de l’époque de Joseph Staline.

Restaurant Chez Staline, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : Nos deux gentilles serveuses au restaurant du « bunker » de Staline.

Au menu des spécialités géorgiennes : une entrée de plusieurs plats différents. Du poulet aux légumes, un excellent vin rouge, de la crème glacée et un expresso. Un excellent repas que nous terminons un peu passé 15 h 15

Restaurant Chez Staline, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : La table est mise, mangeons!

En sortant à l’extérieur, nous ne pouvons que constater que le mercure a grimpé de plusieurs degrés. Il fait chaud. Est-ce le début d’une période de canicule?

Un véritable musée des beaux-arts : le métro de Moscou
Nous reprenons la route en direction d’une station de métro de la ligne circulaire, soit celle où les stations de métro sont de vraies œuvres d’art. Nous y verrons des stations de toute beauté, décorées de lustres, de sculptures, de vitraux, de mosaïques, etc.

Le métro de Moscou a été le premier métro construit en URSS. Chaque station est décorée sous un thème représentant soit une activité, comme l’agriculture, soit un hommage à une république, comme l’Ukraine, ou encore à la gloire de personnages célèbres.

C’est le 15 mai 1935 que fut ouverte la première ligne de métro et c’est celle où l’on retrouve la station Sokolniki, celle sise face à notre hôtel!

Aujourd’hui le métro compte 182 stations réparties sur 12 lignes qui se déroulent sur 298 kilomètres de voies. C’est gigantesque, surtout si on compare avec le métro de Montréal qui lui compte 68 stations réparties sur 5 lignes et couvrant… 66 kilomètres!

Le métro de Moscou est un des plus creux du monde, la profondeur des voies varie entre 80 et 103 mètres.

Les wagons roulent de 5 h 30 du matin à 1 h 30 de la nuit. La distance moyenne entre chaque station est de près de 2 kilomètres à 1,8 km. Les deux stations les plus rapprochées sont à seulement 502 mètres.

Plus de 2 milliards et demi de passagers franchissent les tourniquets annuellement, soit environ 7 millions d’usagers par jour! C’est plus que le nombre d’usagers des métros de New York et de Londres réunis!

C’est un moyen de transport rapide, car il y a peu de délais entre deux rames de métro. En fait, à l’heure de pointe, seulement 40 secondes séparent deux convois. Et en outre, il est très peu dispendieux, un passage coûtant 26 roubles… soit un peu moins de 1 $ canadien. En fait, le seul défaut que nous lui avons trouvé, est que toute la signalisation est en russe... en alphabet cyrillique.

Nous descendons à 16 heures pour prendre le métro. L’escalier roulant est ultra rapide et il nous amène à une grande profondeur.

Le métro de Moscou Russie.

Photo ci-dessus : Nous voici en attende de notre premier déplacement.

Le métro de Moscou Russie.

Photo ci-dessus : Une des premières décorations que nous avons pu admirer.

La première station que nous voyons est décorée en rouge, ce qui nous indique qu’elle est située dans un quartier ouvrier.

Dans les wagons, les bancs sont tous dans le même sens, le long des murs. Ainsi, beaucoup plus de personnes peuvent y prendre place.

Nous descendons à la station suivante, la station Biélorousskaïa. Même le plafond au-dessus de la voie où la rame arrive est superbe.

Le métro de Moscou Russie.

Photo ci-dessus : Le métro entre en gare sous un plafond richement travaillé. On est loin des plafonds du métro de Montréal où suinte l’humidité résultant des nombreuses infiltrations d’eau.

Dans le corridor d’accès au quai, les plafonds sont décorés de mosaïques de marbre, ce sont de vraies œuvres d’art.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Photos ci-dessus : De superbes mosaïques ornent les plafonds.

Malgré que nous soyons dimanche, il y a beaucoup de monde et c’est très bruyant.

Nous reprenons une autre rame et redescendons à la station suivante, celle de Novoslobodskaïa! Il y a de beaux vitraux sur les murs. Une grande mosaïque avec les symboles de l’ère soviétique avec une inscription « La paix dans le monde entier ».

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Photos ci-dessus : La station Novoslobodskaïa, ses nombreuses portes d’évacuation et ses merveilleux vitraux.

Nous remontons dans le prochain train et redescendons à la station suivante, celle de l’Avenue de la Paix. Les murs sont en marbre et en porcelaine blanche avec des dessins reliés à l’agriculture.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Photos ci-dessus : Un aperçu de la foule et des magnifiques médaillons qui décorent les murs.

Nous remontons dans les wagons d’un autre train et constatons que les planchers sont propres. Il y a un bon système d’aération partout. Sur le quai des stations on indique le nombre de minutes à attendre avant l’arrivée du prochain train.

La prochaine station est dédiée à l’Organisation de la jeunesse communiste. Une station très bien décorée reflétant les images glorieuses du passé de l’URSS. Il y a plusieurs belles mosaïques au plafond.

Le métro de Moscou Russie.

Photo ci-dessus : Même les bouches d’aérations relèvent du grand art!

Nous reprenons l’escalier roulant afin de correspondre avec une autre ligne. Nous prendrons celle qui file en direction de notre hôtel, situé à deux stations plus loin.

Tout au sommet des escaliers mécaniques, nous avons comme l’impression d’arriver dans une véritable salle de bal. Pourtant, c’est une station de métro, la station Komsomolskaïa.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Le métro de Moscou Russie.

Photos ci-dessus : La station Komsomolskaïa, une des plus fréquentées du métro moscovite. Elle compte trois gares. C’est une véritable salle de bal!

Nous arrivons à notre hôtel un peu après 17 heures… encore une fois exténués!

Ce soir, c’est souper et soirée libre. Toutefois, 14 membres du groupe assisteront à un spectacle de ballet au palais des Congrès, une sortie non prévue au programme, mais organisée par notre guide à la demande majoritaire des voyageurs. Ils doivent repartir de l’hôtel pour reprendre le métro dans moins de 40 minutes. À la réflexion, nous sommes heureux de ne pas en être!

Après une petite heure trente de repos à l’hôtel, nous y allons d’une petite promenade sur la rue devant notre hôtel. Il y a beaucoup de circulation automobile. Sans doute que les Russes reviennent de leurs datchas.

Malgré l’heure tardive, nous sommes revenus de notre promenade vers 19 h 30, nous n’avons pas faim, et ce, en raison du dîner des plus copieux qui nous a été servi ce midi, nous nous limiterons à grignoter, biscuits, raisins et barres tendres… en nous reposant dans notre chambre d’hôtel!

Méli-mélo
En 1957, la ville de Moscou a été l’hôte du « Festival mondial de la jeunesse et des étudiants » un évènement international organisé par la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique. Pour les jeunes Moscovites, ce fut un événement important, tenu seulement quatre ans après la mort de Staline. Ce fut le plus grand des six festivals déjà présentés. Quelque 34 000 personnes y ont participé provenant de 131 pays.

Quelques mots de russe
Et voici cinq autres phrases en russe qui sont fort utiles :

Comment trouvez-vous? Est-ce que vous aimez? : Kak vam?

Que pensez-vous de Moscou?: Kak vam Maskva?

Moscou est une belle ville Maskva, krasivy gorat

Aimez-vous le métro? : Kak vam mitro?

C’est incroyable! : Audivitil’na!

P.-S. Pour des besoins évidents, la prononciation des mots est écrite dans notre alphabet. Dans la prononciation en russe, lorsqu'une lettre est en caractère gras, c'est sur elle qu'il faut placer l'intonation.

À suivre
Demain en matinée, de retour au Kremlin pour la visite du Palais des Armures, puis visite de la cathédrale du Christ-Sauveur… et une petite croisière incluant le dîner sur la Moskova! Wow!

Cathédrale du Christ-Sauveur, Moscou, Russie.

Photo ci-dessus : La cathédrale du Christ-Sauveur reconstruite aux débuts des années 1990 en lieu et place d’une immense piscine.

Bibliographie
Encyclopédie en ligne Wikipédia, Moscou et une foule d’autres pages.

Cap sur la Russie : Moscou – l’Anneau d’Or – Saint-Pétersbourg, Martin Gostelow, JPM Publications, 2000, 79 pages;

Guide Voir, Moscou, Éditions Libre Expression, 2007, 264 pages;

Le russe avant de partir, Éditions Harrap’s, 2008, 112 pages et trois cédéroms;

Moscou, Édition d’art Amarante, Moscou, 2009, 136 pages;

Russie, Catherine Zerdoun, Éditions du Chêne, 2008, 272 pages;

Russie, Belarus-Ukraine, Bibliothèque du voyageur Gallimard, 2007, 390 pages.

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  1. je suis tombé par hazard sur votre site tres bien écrit .Je reviens de Moscou et ST.Petersbourg (mai 2010) et je n’ai pas entendu parler du buncker non-plus.
    Mais j’ai une question:dans mon film video j’ai l’image d’une station metro avec a l’une des extrémités une grande fresque qui semble représenter Napoleon dont je ne retrouve aucune trace sur intenet.Pouvez-vous me renseigner?
    Merci d’avance

  2. Bonjour, je ne sais pas si vous connaissez ce site, mais je pense que vous y trouverez tout ce que vous cherchez sur la Russie ! Et Staline avait plusieurs bunkers dans Moscou visiblement…
    http://englishrussia.com/2012/02/04/a-bunker-for-stalin/
    http://englishrussia.com/2012/10/21/bunker-42/

  3. Un très grand merci pour l’information.

  4. Je rentre de Moscou et m’interroge sur la réalité du réseau Métro 2. Notre guide nous a parlé d’un réseau permettant le passage de 2 chars en parallèle, j’ai lu des informations sur les trains capables d’y circuler. Ne majore-t-on pas l’importance de ce réseau?
    Je confirme votre évaluation positive sur le restaurant géorgien du bunker!
    Cordialement.

  5. En 2016,j’ai fait avec une amie un circuit St Pétersbourg Moscou nous avons déjeuné dans le bunker Au Café Pouchkine et les environs très beau voyage Le train en première classe magnifique

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