Nov/100
Le mot du jour : épiphanie
Textes et recherches de Jacques Lanciault
On consigne ici le fruit de recherches sur le sens, l’étymologie, l’écriture ou encore la prononciation de certains mots ou expressions sur lesquels je bute, ou qui tout simplement suscitent ma curiosité, au fil de mes lectures...
Source de la recherche : le paragraphe suivant, tiré d’un texte de Stéphane Baillargeon, publié dans le quotidien Le Devoir du 15 novembre 2010 : «Tant de livres et si peu de place pour la littérature. Il se publie environ 6000 livres par année au Québec et dix fois plus en France. Le Salon du livre de Montréal qui ouvre ses portes après-demain célébrera cette vitalité avec plus d'un million d'exemplaires et quelques centaines d'auteurs rassemblés dans une bibliothèque temporaire aux proportions walmartiennes. Quelques médias traitant rarement de littérature feront alors l'effort de diffuser qui une entrevue, qui un cahier spécial. Après cette épiphanie, ils remballeront pour une année de disette.»
Définition :
Le dictionnaire Le Grand Robert de la langue française définit le nom féminin épiphanie comme suit : « Manifestation de quelque chose qui était caché.»
Évidemment, au sens religieux, épiphanie signifie : « Fête de l'Église qui commémore l'épiphanie de Jésus, son adoration, et qu'on appelle aussi « Jour des Rois ». »
L’Épiphanie est également une ville de banlieue nord de Montréal.
Aucun trackbacks pour l'instant