Mar/110
Trois églises inoubliables : Saint-Jean-de-Latran, Sainte-Marie-Majeure et Saint-Pierre-aux-liens!
Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault
Voici le 25e d'une série de reportages relatifs à un inoubliable périple dans le nord de l’Italie réalisé à l’automne 2009.
Rome, Italie, mercredi 21 octobre 2009 – Un après-midi de visite à Rome, trois églises! Mais qu’elles sont magnifiques! Premièrement, la basilique Saint-Jean-de-Latran, la basilique Sainte-Marie-Majeure et finalement l’église Saint-Pierre-aux-Liens! Même si nous avions déjà visité ces trois églises lors de notre passage à Rome une année auparavant, voyages organisés obligent, nos retrouvailles avec ces lieux saints nous auront permis d’approfondir nos connaissances de ces grands monuments de l’histoire de l’Église catholique.
Photos ci-dessus : La porte sainte de la basilique Saint-Jean-de-Latran est en bronze et elle est décorée d’une croix du Christ sculptée, ce qui est, au dire de notre guide, une ancienne tradition juive. Cette porte n’est ouverte qu’une fois tous les 25 ans. La dernière ouverture date de l’an 2000.
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Au terme de nos visites de la matinée, le Capitole, le forum romain, les forums impériaux et le Colisée, nous profitons de notre pause dîner pour refaire nos forces, tout en savourant un bon repas dans un petit bistro de la via Nicola Salvi, La Biga.
Nous rejoignons le groupe à 14 h 30 au lieu de rendez-vous, tout en face du Colisée, là où notre autocar de luxe viendra nous reprendre.
Une dizaine de minutes après l’heure dite, nous filions en direction de la basilique Saint-Jean-de-Latran, une des trois églises que nous visiterons en après-midi.
Comme ce matin, nous passons devant le monument à Victor-Emmanuel II, qui en raison de son gigantisme nous impressionne encore.
Basilique Saint-Jean-de-Latran
La basilique Saint-Jean-de-Latran, San Giovanni in Laterano, se situe à proximité du mur d'Aurélien, l’enceinte fortifiée de la ville de Rome érigée aux alentours des années 275 après J.-C.
« À l’époque de sa construction, ce mur, mentionne Paolo notre guide local à Rome, s’étirait sur 19 km. Son érection a exigé douze années de travaux. »
« La première église que nous allons visiter cet après-midi a été édifiée originellement en 323 sous le règne de l’empereur Constantin. Lors de sa construction, elle a été dédiée au Saint-Sauveur. Elle devenait alors la toute première basilique chrétienne de Rome. Elle est donc la plus ancienne et la plus importante des églises chrétienne de la planète. Elle est considérée comme la mère de toutes les églises de Rome et du Monde, Mater et Caput, disaient-ils en latin, comme nous pourrons le lire sur la façade même de l’édifice », nous prévient Paolo.
Depuis, elle a été plusieurs fois détruite et reconstruite.
Le superbe palais du Latran, qui était contigu à l’église, a été démoli en 1586. Il avait été la résidence des papes jusqu’en 1309, époque où les souverains pontifes quittèrent Rome pour Avignon.
Photo ci-dessus : La façade de la basilique Saint-Jean-de-Latran est impressionnante.
Nous descendons du car à 14 h 50. Il fait beau et chaud, si chaud que nous décidons de laisser quelques « pelures » et notre parapluie dans le véhicule.
« La façade actuelle de l’église a été réalisée en 1735 par l’architecte florentin Alessandro Galilei. Une œuvre d’art de style baroque réalisée à peu près à la même époque que la fontaine de Trevi », précise Paolo.
Photo ci-dessus : Le sommet de la façade de la basilique Saint-Jean-de-Latran est dominé par 15 statues, comme celles-ci.
L’édifice est à la fois cathédrale, basilique et église. Aujourd’hui, elle est la cathédrale de Rome, dont l’évêque est le pape. Elle revêt une importance historique majeure pour l’Église catholique ayant été le site de cinq conciles entre 1123 et 1512.
Photo ci-dessus : Et voilà la mention en latin qui nous indique que la basilique Saint-Jean-de-Latran est la mère de toutes les églises de Rome et du monde, « omnium urbis et orbis ecclesiarum mater et caput ».
L’intérieur du portique est fort intéressant. On y retrouve, une statue de Constantin (1) provenant des thermes du Quirinal et deux portes en bronze ramenées de la Curie, le Sénat, que nous avons visité ce matin dans le forum romain.
(1) : Selon la documentation consultée, on désigne aussi la statue comme étant celle du fils de Constantin, Constance II.
Il y a également une mosaïque représentant l’image du Christ au-dessus de la porte d’entrée. « C’est une mosaïque d’origine, tout le reste du portail a été reconstruit », nous signale notre guide.
Photo ci-dessus : Statue de Constantin ou son fils Constance II, tout dépendant de la documentation consultée!
Photo ci-dessus : Porte de bronze de la basilique Saint-Jean-de-Latran. Elle a été réalisée à l’époque de la construction du Colisée, c’est donc une porte qui a 2 000 ans d’histoire!
Photo ci-dessus : La porte sainte de la basilique Saint-Jean-de-Latran est en bronze et elle est décorée d’une croix du Christ sculptée, ce qui est, au dire de notre guide, une ancienne tradition juive. Cette porte n’est ouverte qu’une fois tous les 25 ans. La dernière ouverture date de l’an 2000.
Nous y entrons.
La basilique ayant été très souvent détruite et reconstruite, son aspect a grandement changé au cours des siècles, mais sa décoration actuelle date de la fin du XVIe et du début du XVIIe siècle.
Trois éléments nous impressionnent dès que nous pénétrons dans les lieux : la longueur de la nef centrale, le pavement du plancher, le plafond et le grand nombre de superbes statues placées entre des colonnes sur les murs! C’est vraiment magnifique.
« Normal que la longueur de l’église vous impressionne », nous lance Paolo en nous indiquant qu’elle mesure 130 mètres de long, ce qui en fait la deuxième plus longue au monde immédiatement après la basilique Saint-Pierre de Rome!
« Le pavement, ajoute-t-il est “cosmatesque”, c’est-à-dire qu’il provient de la famille Cosmatie, qui dès le XVe siècle était de célèbres artisans marbriers spécialisés dans la parqueterie en marbre. »
Photos ci-dessus : Pavement de la basilique Saint-Jean-de-Latran où il y a des disques représentant l’évolution de la religion de la porte d’entrée jusqu’à l’autel principal.
« Le plafond, quant à lui, date du XVIe. Il est de l’artiste Pirro Ligorio », souligne notre guide.
C’est vraiment remarquable.
Photo ci-dessus : Le magnifique plafond de Pirro Ligorio.
Sur les murs des deux côtés de la nef, il y a plusieurs niches où prennent place de magnifiques statues d’apôtres, dont Saint-Mathieu, Saint-Barthélemy, Saint-Philippe, Saint-Jacques-le-majeur, Saint-Jean, Saint-Thomas, etc. L’aménagement a été réalisé en 1650 par Francesco Borromini, à la demande du pape Innocent X.
Photo ci-dessus : Saint-Mathieu, avec son évangile.
Photo ci-dessus : Saint-Barthélemy arborant sa propre peau.
Photo ci-dessus : Saint-Simon, et son principal attribut, la scie.
Photo ci-dessus : Saint-Philippe et sa croix, étant un des disciples de Jésus qui a été crucifié.
Photo ci-dessus : Saint-Thomas, qui nous montre le doigt avec lequel il a touché la plaie du Christ.
Photo ci-dessus : Saint-Jacques le majeur avec sa tenue de pèlerin et son bourdon, le bâton du pèlerin.
Pratiquement au centre de la nef centrale, il y a un baldaquin gothique qui s’élève très haut vers le plafond de la basilique. Environ à mi-distance du sommet, il y a deux statues en argent représentant Saint-Paul et Saint-Pierre. Notre guide nous annonce que les têtes des statues des deux saints sont en fait des reliquaires qui contiennent les cranes de Saint-Paul et de Saint Pierre!
Le baldaquin a été érigé à la demande du pape Urbain V… en 1367! Il a toutefois été restauré en 1861.
Photo ci-dessus : Sous le baldaquin de la basilique Saint-Jean-de-Latran, seul le pape peut célébrer la messe.
Au pied du baldaquin se trouve le tombeau du pape Martin V, sur lequel il y a un magnifique gisant, une œuvre de Simon Ghini, le frère de Donatello.
Dans l’abside, il y a le trône réservé à l’évêque de Rome. Il y a tout au-dessus une splendide mosaïque datant du IVe siècle… qui a été restaurée près d’un millénaire plus tard, soit en 1291. Elle nous apparaît être un mélange des styles byzantin et romain nature.
Photo ci-dessus : La mosaïque du Rédempteur, dans l’abside de la basilique Saint-Jean-de-Latran.
Photo ci-dessus : Une superbe statue de Saint-Jean-Baptiste!
Photo ci-dessus : La basilique Saint-Jean-de-Latran accueille les sépultures de trois papes, dont celle de Léon XIII.
Notre guide attire notre attention sur une petite chapelle où l’on peut voir le tombeau de Lorenzo Valla (1407-1457).
« Celui-ci, qui était un expert des langues anciennes, le grec et le latin, doublé d’un humaniste. Au cours de sa vie, il étudia l’acte de la donation de Constantin. Un document par lequel l'empereur donnait au pape Sylvestre la primauté sur les Églises d'Orient ! Valla en conclut que le document était un faux, ce qui fit scandale à l’époque. »
« L’acte de donation remonte à l’an 330, époque où Rome n’est plus la capitale de l’Empire romain, celle-ci étant maintenant Constantinople. L’empereur Constantin a fui Rome pour la nouvelle capitale, laissant alors la ville de Rome sous l’autorité du pape…, avait alors annoncé l’église! », nous raconte Paolo.
Nous sortons de la basilique et nous nous retrouvons sur la piazza San Giovanni in Laterano. Il y a un superbe obélisque qui y trône! « C’est le plus grand, le plus lourd, le plus ancien et le mieux conservé du monde », nous lance d’un seul trait notre guide.
« Il n’est que d’un seul bloc et il pèse 522 tonnes. Ce bloc de granit rose a été ramené par Constantin II au IVe siècle apr. J.-C., par bateau… sans moteur évidemment! »
Photo ci-dessus : L’obélisque du Latran est le plus haut des 13 qui ornent différentes places de Rome. Il est couvert d'hiéroglyphes. D’ailleurs, notre guide s’étonne que les Égyptiens ne l’aient encore jamais réclamé!
L’obélisque a été réalisé par Thoutmosis III en 1449 av. J.-C. Initialement il a été installé dans le Circus maximus. Ce n’est qu’en 1588 qu’il a été déplacé devant la basilique Saint-Jean-de-Latran.
Photo ci-dessus : Voici la base de l’obélisque du Latran.
Nous retournons au car et repartons à 16 h 00 pour nous rendre cette fois-ci à l’église Sainte-Marie Majeure.
Basilique Santa Maria Maggiore
Nous descendons après à peine cinq minutes de route et nous nous rendons sur la place devant la basilique Sainte-Marie-Majeure.
Il y a une belle colonne. « Elle a été récupérée dans le forum romain dans la basilique de Maxence et Constantin », fait remarquer Paolo.
Tout au sommet de la colonne, il y a une statue de la Vierge à l’enfant. La colonne est dédiée à la Vierge. À la base de la colonne, notre guide nous fait remarquer la présence de l’aigle et du dragon, ce qui constitue le blason de la famille Borghèse.
Photo ci-dessus : La colonne de la piazza di Santa Maria Maggiore.
Photo ci-dessus : Le superbe campanile de style roman de la basilique Santa Maria Maggiore.
La basilique appartient au Vatican. Elle est l'une des quatre basiliques majeures de Rome. C'est le plus grand monument de Rome consacré à la Sainte Vierge.
C’est une basilique que nous avons visitée lors de notre passage à Rome en 2008. Voici ce que nous avions écrit à l’époque :
« En importance, la basilique Sainte-Marie-Majeure, est la quatrième des grandes églises de Rome, après Saint-Jean-de-Latran, Saint-Pierre et Saint-Paul hors les murs. Elle mesure 98 mètres de longueur. Elle possède un magnifique pavé, construit en 368.
Au mois d’août 356, le pape Libère vit la Vierge en songe. Elle lui demanda de construire une église à l’endroit où il neigerait le lendemain! Curieusement, la même nuit, un patricien, Jean, a fait le même rêve. Et le lendemain, en plein cœur du mois d’août, il neigea sur Rome!
L’église fut donc construite et dédiée à Sainte-Marie-de-la-neige. Ce fut d’abord une petite chapelle qui fut transformée en basilique par le pape Sixte III au Ve siècle. Elle a été souvent remaniée au cours des siècles. »
Nous y entrons.
Première constatation, elle est légèrement moins imposante que Saint-Jean-de-Latran. Toutefois, elle possède elle aussi une porte sainte, tout comme un pavement du même type qu’à Saint-Jean-de-Latran.
Photo ci-dessus : À l’entrée de la basilique Santa Maria Maggiore, il y a cette belle statue de Philippe IV, roi d'Espagne.
Dans une petite chapelle, une messe est en cours avec des chants.
Nous nous assoyons près du maître-autel.
Photo ci-dessus : Notre groupe près du maître-autel de la basilique Santa Maria Maggiore
« Pourquoi avoir construit une autre basilique aussi imposante? », nous demande notre guide!
Et devant notre silence, il nous offre une longue explication en guise de réponse à sa question :
« À l’époque de sa construction, il y avait une querelle entre l’Église catholique orientale et l’Église catholique occidentale au sujet de certains dogmes de la religion catholique.
Lors du concile d’Éphèse en Turquie, en 432, l’église d’Orient avait conclu en l’inséparabilité des natures humaine et divine de Dieu.
Or cette question fit en sorte que l’Église romaine catholique éclata en 1054. Les papes et les prêtres de l’Orient donnant une interprétation différente des natures de Marie mère de Dieu et de Marie mère de Jésus. »
Notre guide attire alors notre attention sur une superbe mosaïque représentant le couronnement de la Vierge sur le mur de l’abside.
« Cette mosaïque de 1295 représente toute la distinction entre la représentation de la Vierge Marie de l’Église orthodoxe et celle de l’Église catholique, d’où l’importance pour l’Église romaine d’ériger cette église à la gloire de la Vierge Marie. »
Photo ci-dessus : Le couronnement de la Vierge, une œuvre de Jacopo Torriti datant de 1295! Que notre guide Paolo décrit en ces mots : « Une explosion de plantes et d’oiseaux, donc c’est une mosaïque romaine. La mère et le fils sont assis sur le même trône, un soleil sous les pieds du Christ et la lune sous les pieds de la Vierge. Ils sont donc le début et la fin de l’univers. »
Devant nous, il y a un superbe baldaquin. Il est immense avec ses quatre colonnes de marbre datant du XIXe siècle. Il symbolise la protection du Saint-Esprit envers l’église.
Sous ce baldaquin, il y a des reliques datant de la fin du XVIIIe siècle… qui sont des morceaux de bois de la mangeoire qui prenait place dans la crèche où est né Jésus!
Photo ci-dessus : Le baldaquin de la basilique Santa Maria Maggiore est supporté par quatre précieuses colonnes de porphyre.
Photo ci-dessus : L’autel de la chapelle Pauline de la basilique Santa Maria Maggiore.
Deux chapelles se trouvent face à face de chacun des côtés de la nef. Une se nomme Pauline et l’autre Sixtine. Elles sont en rénovation. L’année dernière nous avions visité la chapelle Pauline, la Cappella Paolina, considérée comme la plus riche chapelle de Rome. Pauline est la protectrice de Rome.
Le Bernin est enterré ici, sous le sol de la basilique. Il est né dans ce quartier et il fut baptisé dans cette église.
Photo ci-dessus : Le tombeau du Bernin.
Le plafond est une œuvre de Giuliano Sangalo et il date du XVe siècle. Il est décoré avec l’or ramené d’Amérique par les conquistadors.
Photo ci-dessus : Magnifique plafond de la basilique Santa Maria Maggiore.
Nous entrons dans le baptistère par une porte latérale. C‘est Pietro Bernini qui a conçu le baptistère. Le pape Clément IX est enterré ici.
Nous sortons à 16 h 50 et poursuivons à pied en direction de l’église Saint-Pierre-aux-liens… sise à un jet de pierre de notre hôtel.
En route nous traversons le quartier universitaire.
Photo ci-dessus : Un des très nombreux autobus mis à la disposition des touristes à Rome.
Nous arrivons et y entrons rapidement, car une pluie fine vient de commencer à tomber.
L’intérêt de visiter cette église est double. Premièrement s’y trouve une magnifique statue de Moïse réalisée par Michel-Ange, tout comme les « chaînes » ayant servi à Hérode pour attacher Saint-Pierre… d’où d’ailleurs le nom de l’église.
La statue de Moïse est très impressionnante…, et ce, même si nous l’avions déjà vu l’année dernière.
Notre guide nous la décrit ainsi : « Moïse vient de descendre du mont Sinaï avec les tables de la loi. Il est assis et il se prépare à hurler sa colère face à son peuple, les juifs, qui durant son absence ont adoré le veau d’or! Il va alors jeter les tables de la loi par terre où elles vont se briser. »
« Regardez l’expression troublée de Moïse et sa rage qui va exploser. Il semble qu'il soit sur le point de se lever. »
Photo ci-dessus : Le Moïse de Michel-Ange est partie intégrante d’un ensemble tout simplement remarquable.
Cet ensemble a été réalisé par Michel-Ange à la demande du cardinal Giuliano della Rovere, le futur pape Jules II dans le but d’orner son monument funéraire!
Photo ci-dessus : Le magnifique reliquaire qui renferme les chaînes dont se servit Hérode pour attacher celui qui allait devenir Saint-Pierre.
Photo ci-dessus : Avant de quitter cet autre lieu de prière, Céline (au centre) et deux de nos compagnes de voyage profitent d’une courte pause.
Photo ci-dessus : En sortant de l’église Saint-Pierre-aux-Liens, notre guide attire notre attention sur la tour de la maison des Borgia.
Puis, nous rentrons à l’hôtel. Il est 18 heures.
Un souper dans le quartier populaire du Trastevere
Photo ci-dessus : Voilà Céline prête pour un souper dans un restaurant populaire du quartier Trastevere.
Photo ci-dessus : Puis, me voici.
Mais, la pause est courte. Nous repartons en car dès 19 heures pour nous rendre dans un restaurant situé dans le quartier populaire du Trastevere, situé de l’autre côté du Tibre. Le resto où nous avons rendez-vous se nomme le Da Meo Patacca.
Nous y mangeons une entrée de pâte, un plat de viande servi avec des pommes de terre rôties et une salade, le tout agrémenté d’un délicieux vin rouge. Pour dessert, une crème glacée aux ananas!
L’ambiance est dynamique dans le restaurant où il y a un chanteur accompagné de guitaristes. La soirée est fort agréable!
À suivre
Une très intéressante visite au « Palais Massimo », un édifice qui abrite une partie des collections du Musée national romain.
Photo ci-dessus : Une statue représentant Auguste de la Via Labicana.
Bibliographie
Atlas en fiches (Italie, l’Adige, le Pô, la Toscane, Venise, Florence, Sienne et Rome , Éditions Atlas, 2008;
Encyclopédie libre Wikipédia, Italie, Pavie, Milan, Vérone, Venise, Florence, Pise, San Gimignano, Rome et une foule d’autres pages;
Guide Voir, Italie, Éditions Libre Expression, 2007, 720 pages;
Guide Voir, Florence et la Toscane, Éditions Libre Expression, 2009, 336 pages;
Lonely planet, Italie, Lonely Planet Publication, 2010, 836 pages;
Patrimoine mondial de l’UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages ;
Rome, Bellomi Editore, 129 pages.
Rome, des origines à nos jours, Edizioni Lozzi Roma, 2009, 120 pages.
Rome des Césars, Bonechi Edizioni,1981, 128 pages.
Tout Rome,, Bonechi Edizioni, 1967, 144 pages.
Venise et ses îles, Office de tourisme de Venise, 2007, 60 pages;
Venise reine de la mer, Edizioni Storti, 1972, 79 pages.
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15 août 2012
Visiter la basilique Saint-Jean de Latran fut pour moi une expérience gravée à jamais dans ma mémoire. Tant de beauté, de monumentalité, d’Histoire ! Un lieu saint, sacré à bien des égards, que même une horde de touristes n’arrive à ébranler. Même si nous avons perdus les édifices originaux de Constantin, nul doute que cette construction baroque sait faire honneur à l’empereur : le modèle de basilique antique fut conservé, et l’église est un joyau parmi les joyaux de Rome.
5 mai 2014
Bonjour, bonjour pour ces photos et surtout les commentaires ce qui est rarte. Les internautes mettent des photos sans dire ce que cela est. et parfois leurqs chambre et repas qui n a rien à voir avec les sujets. Cela m’intéresse car je fais des albums numériques et je cherche les noms des photos que j ‘ai pri car je ne retiens pas tout. J’ai beaucoup de sujet avec vous que je mets dans mes favoris . Merci encore pour ces explications et photos
5 mai 2014
excusez les fautes de frappe.!!!
26 septembre 2015
merci pour les commentaires, surtout pour St Jean de Latran