Nov/120
Tarente : un château aragonais impressionnant!
Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault
Voici le 7e d'une série de reportages relatifs à un formidable voyage réalisé dans «l’autre Italie» à l’automne 2012.
Polignano a Mare, Tarente, Pouilles, Italie, samedi, 13 octobre 2012 – Tristes nous sommes ce matin de quitter notre superbe hôtel de Polignano a Mare. Un site doté d’une foule d’installations superbes, dont nous n’aurons malheureusement pas profité! Dommage. Notre trajet d’aujourd’hui nous mènera à Lecce en soirée. Mais, en matinée, c’est vers la ville de Tarente que nous nous dirigeons. Même si cette cité est la plus polluée de toute l’Europe et que la ville est financièrement en faillite, nous y visiterons tout de même un imposant château aragonais, une belle cathédrale et un superbe musée. Mais, tout d’abord, rendons-nous au château aujourd’hui occupé par la marine italienne.
Photos ci-dessus : Au cœur du « Château aragonais » de Tarente, nous avons pu admirer ce magnifique canon… et sa pile de boulets!
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Réveil dès potron-minet ce matin! Le bip-bip de notre réveil résonne dans notre chambre à 5 h 50, et ce, parce que nous devons quitter notre superbe hôtel de Polignano a Mare tôt… si nous voulons réaliser toutes les visites prévues à notre programme et réussir à nous installer dans notre nouvel hôtel de Lecce avant la nuit!
Nous déjeunons à 7 heures, un repas excellent où en cours de dégustation le soleil est soudainement apparu émergeant de la ligne d’horizon… tout juste devant nous!
Nous rejoignons les membres du groupe dans le hall d’entrée de l’Hôtel Borgobianco à 7 h 45 et rapidement le car s’élance sur l’étroit passage de graviers. Contrairement à hier, notre autocar a réussi à atteindre l’hôtel, de sorte que nous n’avons pas eu à utiliser les navettes fournies par l’hôtel.
Photo ci-dessus : Notre autocar dans les Pouilles.
À compter d’aujourd’hui, nous amorçons notre descente vers l’extrémité du talon de la botte italienne, là où les deux mers, Ionienne, et Adriatique, fusionnent.
Pour l’heure, nous filons vers Tarente en longeant la côte vers le sud. Mais, rapidement notre car bifurquera vers l’intérieur des terres, car l’ancienne cité de la Grande Grèce, Tarentum, elle qui sera l’objet de notre première visite de la journée, est une ville portuaire située sur le golfe de Tarente et non sur la mer Adriatique.
« Nous aurons besoin d’une heure trente minutes pour nous y rendre », précise notre accompagnateur de Voyages Lambert, Jean-Marc Lechat.
À Tarente, nous rejoindrons notre guide locale dans les Pouilles, Grazia, elle qui habite cette ville. Nous nous rendrons tout d’abord dans la vieille ville, la città Vecchia, sise sur une île, où nous visiterons le château aragonais et la cathédrale San Cataldo. Puis après le dîner, une escapade dans la ville moderne nous permettra de faire un saut au musée archéologique.
En fin d’après-midi, en route vers la côte Adriatique, nous nous arrêterons tout près de la ville d’Ostuni pour une dégustation d’huiles d’olive. Et finalement, nous longerons l’Adriatique jusqu’à Lecce où nous nous installerons pour trois nuits.
Peu après notre départ, nous apercevons un cimetière où se dressent plusieurs mausolées et de grandes chapelles. Il est entouré de cyprès, normal, c'est l'arbre des cimetières dans le sud de l’Europe. « Les corps sont ensevelis dans des tombeaux et sont placés dans les chapelles familiales », souligne Jean-Marc.
Nous traversons la forêt de Fasano, elle qui est toute proche des villes d’Alberobello et de Castellana Grotte où nous nous sommes déjà arrêtés. Cette forêt offre une végétation luxuriante composée de chênes, de chênes verts et d’arbousiers et où l’on retrouve de nombreuses maisons et villas en forme de trullo.
Nous passons devant une bâtisse où, nous dit Jean-Marc, on fabrique du vin utilisant une méthode champenoise.
Retour à la fin du XIXe siècle
Notre car filant lentement sur la route, les membres du groupe prenant place à l’avant du véhicule ont pu voir un homme s’amener lentement vers la barrière d’un passage à niveau que nous nous apprêtions à franchir et l’abaisser presque devant notre autocar… comme on le faisait sans doute au XIXe siècle.
Puis, l’homme s’en est retourné tout aussi tranquillement dans la petite maison qu’il habite sise tout près du passage à niveau! « Une maison qui appartient à la compagnie de chemin de fer », ajoute notre accompagnateur. Selon celui-ci, nous aurons la chance de voir un « TPV »! Un train à très petite vitesse!
« En Italie, nous précise Jean-Marc, des accidents mortels ont lieu chaque année sur les passages à niveau. Ils sont donc maintenant très prudents, trop peut-être. »
« Contrairement à la France, les passages à niveau italiens ne sont pas encore tous automatisés », souligne encore Jean-Marc.
Nous attendons plusieurs minutes et toujours pas de train. Puis finalement, alors que la file des véhicules s’allonge derrière le car, un tout petit train de quelques wagons finit par passer. Puis, tranquillement, le gardien sort de sa bicoque et revient lever la barrière!
Voilà, nous repartons.
Nous traversons la ville de Martina Franca, une cité habitée par tout près de 50,000 personnes. Notre accompagnateur attire notre attention sur la belle porte d’entrée de la ville. Elle est de style baroque.
« Le nom de la ville vient de Saint-Martin et de zone franche », nous apprend Jean-Marc.
« Au tournant du premier millénaire, nous raconte-t-il, les habitants de la ville qui portaient une grande dévotion à Martin de Tours ont nommé leur ville à son honneur. »
« Selon la légende, Martin, alors qu’il était militaire, a partagé son manteau avec un déshérité. Pourquoi ne lui a-t-il pas donné son manteau au complet, demande Jean-Marc? Tout simplement parce qu’il ne pouvait pas le lui remettre en entier, la demi de tous ses vêtements appartenant à l’armée. »
Et notre accompagnateur de poursuivre son récit : « Suite à son geste, le Christ lui serait apparu… vêtu de cette même moitié de manteau. Martin décida alors de consacrer sa vie à Dieu. Il a été canonisé et aujourd’hui il est le Saint Patron de Martina Franca. »
« Quant au mot “Franca” du nom de la ville, il provient du fait qu’à cette époque, cette cité détenait le statut de ville franche d’impôt et de taxes! »
Contrôle de sécurité
À 9 h 05, alors que Jean-Marc vient à peine de terminer son petit aparté relativement à l’origine du nom de la ville de Martina Franca, un policier, gesticulant au centre de la route, signifie à notre chauffeur de ranger son véhicule sur l’accotement!
Notre accompagnateur suppose que soit un radar a détecté notre car qui roulait au-dessus de la vitesse permise, auquel cas notre chauffeur se verra décerner une contravention, ou qu’il s’agit tout simplement d’un contrôle routier, une situation fréquente pour les autocars de touristes sillonnant les routes italiennes.
Il ajoute que le chauffeur, pour être en règle, doit pouvoir produire aux policiers son permis de conduire, son certificat médical mis à jour au cours de la dernière année, un document prouvant l’état de bon fonctionnement de la « boîte noire » du car, elle qui enregistre tout : vitesse, kilomètres parcourus, temps d’arrêt, etc.
Notre accompagnateur en profite pour nous indiquer qu’en France, à compter du 1er novembre prochain, on devra obligatoirement disposer d’un « éthylotest » dans chaque véhicule circulant sur les routes de l‘Hexagone…, et ce, sous peine d’une amende de 200 €. « Et dire que ces appareils n’ont une durée de vie que de trois mois », conclut-il.
Il semble que notre chauffeur n’ait subi qu’un contrôle de papier, car il revient sans contravention. Tant mieux, car il roulait déjà très lentement.
Nous repartons à 9 h 30.
Une vingtaine de minutes plus tard, nous apercevons au loin, la ville de Tarente et la mer Ionienne.
Tarente et son château aragonais
La vieille ville de Tarente est située sur une petite île rectangulaire près d’un isthme qui sépare la mar picola de la mar grande! Pour nous y rendre, nous devons traverser un pont. C’est congestionné pour y accéder et pour entrer dans la ville.
Des deux côtés de la route où nous circulons, sur les trottoirs il y a des vendeurs de poissons, de fruits de mer et beaucoup de kiosques offrant des moules!
Enfin, nous traversons le pont, voyons une marina et le port. Nous voici arrivés!
Nous descendons du car à 10 heures tout près de notre premier lieu de visite, le château aragonais, San Angelo, dont la construction date de la fin du XVe siècle.
Notre guide locale dans les Pouilles, Grazia est déjà sur place qui nous attend.
Photo ci-dessus : L’entrée du château aragonais de Tarente, un édifice occupé aujourd’hui par la marine italienne.
Nous entrons au château et un militaire tout de blanc vêtu, impeccable dans son uniforme de la Marine italienne, nous demande de nous installer dans une petite salle de conférence où l’on devrait nous présenter un court film expliquant les restaurations apportées au château, par les marins italiens, au cours des cinq dernières années.
Photo ci-dessus : Notre guide au château aragonais de Tarente, Messinimo, un officier de la marine nationale italienne.
Mais, le petit film n’est disponible qu’en italien et en anglais. Nous décidons donc d’y aller pour la visite du château sans regarder le film.
Notre guide en uniforme nous indique que quelque 200 marins sont basés ici. Il précise que le château est ouvert au public depuis peu. D’ailleurs notre « Guide Voir » précise qu’il s’agit d’une zone militaire strictement réservée. Messinimo nous mentionne qu’environ 65 000 visiteurs par année sont reçus. Le « Guide Voir » aurait besoin d’une petite mise à jour.
« Le château Saint-Ange a été érigé sur les ordres de Ferdinand d’Aragon, ajoute-t-il, durant la dernière décennie du XVe siècle sur des fortifications datant Xe siècle soit de l’époque byzantine. En 1700, il a été agrandi ».
«Il a déjà été occupé par 3 000 soldats, époque où on y dénombrait pas moins de 60 canons», évoque notre guide. « En ces temps, le château disposait de cinq tours. Aujourd’hui, il n’y en a plus que quatre, une ayant été démolie en 1887 pour construire le pont. »
Messinimo nous mène dans une grande salle où il y a une maquette du château de cette époque. Il y a aussi des objets anciens dans une vitrine, dont un paquet de cigarettes de la Deuxième Guerre mondiale… où il est inscrit « que la cigarette fait passer le rhume »!
Photo ci-dessus : Maquette du Château Saint-Ange de Tarente.
Puis, nous passons dans la bibliothèque historique où il y a 4 000 livres, dont la majorité traite de manœuvres militaires ou de techniques de guerres. Nous constatons qu’il y en a plusieurs en français.
En guise d’explication, notre hôte nous précise : « Remarquez qu’en 1804, Tarente était une base militaire française, sous Napoléon. »
Photo ci-dessus : Sur un des murs, il y a ce magnifique crucifix.
Dans une autre pièce, il y a une grande maquette en bois de la vieille ville, la città Vecchia, tout en couleur.
Nous ressortons dans la cour intérieure où Messinimo nous donne quelques informations historiques sur Tarente.
« À l’époque de Ferdinand d’Aragon, les ennemis, ce sont les Turcs qui viennent de s’emparer de Constantinople. Les Ottomans ont envahi Tarente pour avoir une base afin de se lancer à la conquête des Pouilles. »
Nous entrons de nouveau dans le château par une autre porte. Nous voyons tour à tour les cuisines, la caserne où logeaient les soldats, le grenier à blé, la salle de la logistique, les anciens appartements royaux, la salle du commandant de la garnison, qui avait été installée dans l’appartement du châtelain, ainsi que les citernes.
De là, nous descendons un grand escalier de pierre qui nous amène tout au bord de la mer.
Photos ci-dessus : Un château imposant.
Photo ci-dessus : Le pont tournant, « le Ponte Girevole un des symboles de la ville de Tarente en considération de son caractère unique, témoignage d'un magnifique travail d'ingénierie navale », nous apprend l’encyclopédie libre Wikipédia.
Photo ci-dessus : Des amarres dans la pierre au bord de l’eau.
« Tout en face, nous mentionne notre guide, il y a le palais de l’amiral et une grande sculpture en bronze datant de 1870, le “Monument aux marins». Il salue de l’autre rive les militaires. »
Photo ci-dessus : Tout juste avant de quitter Tarente, en après-midi, au terme de nos visites, j’ai quitté le groupe quelques instants pour me rendre au bout d’une petite rue où je pouvais apercevoir un monument. C’était le monument aux marins, dont nous parlait notre guide au château Saint-Ange.
Il fait beau et chaud sous le soleil.
« Ici, enchaîne Messinimo, la mission de l’armée en était une d’observation de la Méditerranée. Les tours du château permettaient cette surveillance ».
Nous sommes tout près de l’une d’elles, la tour Saint-Christophe. Elle est impressionnante. Notre guide précise que les quatre tours restantes font entre 18 à 28 mètres de diamètre! »
Nous entrons à l’intérieur de la tour, dont les murs sont de pierres locales.
À la première fenêtre que nous croisons, il y a un canon dirigé vers la mer. Tout-à-côté, un petit amoncellement de boulets!
Photos ci-dessus : Au cœur d’une des tours du « Château aragonais » de Tarente, nous avons pu admirer ce magnifique canon… et sa pile de boulets!
Nous sortons et entrons dans la tour San Lorenzo où se trouve le système qui jadis permettait de faire pivoter l’ancien pont tournant. Il y a un vieil ascenseur en métal qui servait à la manœuvre.
Nous arrivons dans une galerie avec de hauts plafonds en arc, une voute gothique. « Elle date du temps des croisades françaises », annonce notre guide.
« Il y a des sources d’eau douce dans le plancher, nous mentionne-t-il, et ce, même si le château est dans la mer. »
« En fait, complète-t-il, il y a 31 sources d’eau autour de Tarente. L’eau qui y coule provient des montagnes environnantes. »
Nous voyons un « Mémento Mori », « une sculpture qui a été placée à cet endroit à une autre époque pour rappeler aux gens de ne pas s’éloigner de la religion, car tous, un jour, nous mourrons.
Photos ci-dessus : L’affreux “Memento Mori” que nous avons vu »!
Dans une des galeries que nous empruntons, il y a des vestiges de l’époque grecque (VIe siècle avant Jésus-Christ), dont certaines provenant d’un ancien temple.
Nous montons encore un peu et voyons qu’il y a des fouilles archéologiques en cours.
Nous ressortons et entrons dans les anciennes cuisines où d’autres objets sont exposés, dont des pièces de monnaie de la première République romaine.
Notre officier de la marine italienne nous amène dans la petite chapelle du château. Elle est dédiée à San Leonardo. Près de l’autel, il y a une colonne datant de 1681, nous dit-il.
Au-dessus de l’autel, le plafond est en pierre en forme de coupole. La lumière du soleil y pénètre. Sur l’autel, il y a un beau crucifix en bois.
Photos ci-dessus : La très jolie chapelle San Leonardo du château aragonais de Tarente.
Il y a une partie d’un testament ancien écrit en espagnol sur un des murs de la chapelle. « Un homme, nous raconte notre guide, a précisé directement sur le mur qu’il laissait la moitié de sa fortune à distribuer aux filles ne disposant pas de dote et qui voulaient se marier. »
Photos ci-dessus : Dans la petite chapelle, des armoiries, datant de 1591, sont gravées dans la pierre.
La visite se termine ici. Il est 11 h 25 lorsque nous quittons le château pour amorcer une petite promenade dans la vieille ville qui nous mènera à la cathédrale.
La vieille ville de Tarente au pas de course
Photos ci-dessus : Nous amorçons une petite balade dans la vieille ville de Tarente. Derrière nous, nous apercevons une des tours du château.
Photos ci-dessus : Pour nous, l’automne est avancé, mais ici dans les Pouilles, les fleurs sont encore très belles.
Notre guide dans les Pouilles, Grazia, a repris son microphone. « Selon la légende, nous dit-elle, Tarente a été fondée par Taras, le fils de Poséidon, qui y arriva sur le dos d’un dauphin! »
Photos ci-dessus : Sur la monnaie de l’ancienne ville de Taras, on pouvait voir le fils de Poséidon, Taras, représenté sur un dauphin tenant à la main le trident de son père. Aujourd’hui, cette image apparaît sur l’emblème de la ville actuelle.
Photos ci-dessus : L’édifice de l’Hôtel de Ville de Tarente… où l’on peut voir l’emblème de la ville, Taras!
Photos ci-dessus : Emblème que nous retrouvons même gravé sur de la pierre!
Nous passons devant les restes d’un ancien temple grec dédié à Poséidon. « Il date du VIe siècle avant Jésus-Christ », nous mentionne notre guide, qui du coup accélère le pas, car l’heure de notre prochain rendez-vous approche justement à grands pas.
Photos ci-dessus : Deux colonnes restantes de l’ancien temple grec dédié à Poséidon
Grazia nous mène dans une rue très étroite où circulent des motocyclettes n’affichant aucun respect pour les piétons.
Elle nous indique un bâtiment, « C’est l’ancien monastère San Francesco d’Assisi », nous dit-elle. « Il abrite aujourd’hui une faculté de l’université de Bari. L’édifice a été restauré il y a un an. »
Nous entrons dans ce qui a été le cloître du monastère. « Les anciennes chambres ont été transformées en salles de cours », précise notre guide.
Photos ci-dessus : Très beau cloître du monastère San Francesco d’Assisi.
Méli-mélo
Tarente est une ville qui compte sur une population de 210 000 personnes.
La ville de Tarente a été fondée en 708 av. J.-C. sous le nom de Taras par des exilés spartiates.
Tarente est avant tout un port de commerce, un port de pêche, un port militaire et un grand centre de construction navale.
C’est une ville extrêmement polluée par ses industries, la plus polluée d’Europe mentionne l’encyclopédie libre Wikipédia. « Des études réalisées depuis 1995 démontrent la présence de nombreux problèmes respiratoires chez les habitants de la ville, tout comme on dénote un taux élevé d’autres maladies, comme la leucémie », laisse entendre notre accompagnateur Jean-Marc Lechat.
Le 31 décembre 2005, Tarente a déclaré faillite. Elle recommence à peine aujourd’hui à reprendre le dessus, et ce, grâce notamment à l’implantation de nouvelles industries, comme l’acier et le pétrole. Rien pour améliorer la qualité de l’air.
À suivre
La cathédrale San Cataldo au coeur de la vieille ville de Tarente.
Photo ci-dessus : La chapelle San Cataldo de la cathédrale du même nom... résolument baroque.
Bibliographie
Atlas en fiches (Italie, Régions du Sud, Mezzogiorno et les Apennins), Éditions Atlas, 2008;
Encyclopédie libre Wikipédia, Italie, Pouilles, Basilicate, Bari, Trani, Castel del Monte, Bitonto, Altamura, Matera, Alberobelle, Castellana Grotte, Tarente et de nombreuses autres pages;
Guide Voir, Italie, Éditions Libre Expression, 2007, 720 pages;
Lonely planet, Italie, Lonely Planet Publication, 2010, 836 pages;
Patrimoine mondial de l’UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages ;
Les Pouilles, civilisation, art et histoire,, Edizioni Kina Italia, 96 pages.
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