Mai/130
Le whisky de la distillerie Edradour, la magnifique Queen’s View et le tout blanc château de Blair!
Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault
Voici le 16e d’une série de reportages relatifs à un long périple intitulé « Le grand tour des îles britanniques » que nous avons réalisé avec Voyages Lambert au printemps 2013!
Pitlochry, Perthshire, Écosse, Royaume-Uni, jeudi 30 mai 2013 – Évidemment, pour des amateurs de château, le Scone Palace nous a ravis. Mais, c’est un peu excités que nous reprenons l’autocar, car, à notre prochain arrêt, nous aurons la chance de déguster l’eau de vie des dieux écossais… le whisky! En effet, nous visiterons la distillerie d’Edradour, la dernière petite distillerie où le précieux liquide est fabriqué à la main. Puis, après un court arrêt pour admirer un panorama exceptionnel nommé Queen’s View, nous visiterons un autre château, Blair Castle, avant de prendre la route pour la dernière ligne droite du jour, celle qui nous mènera à Inverness, où nous passerons la nuit!
Photo ci-dessus : Le « Blair Castle », tel que nous l’aurions vu s’il n’y avait pas eu de travaux de restauration en cours lors de notre passage! Merci à Wikipédia.
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Après notre visite du palais de Scone, nous reprenons la route et filons en direction d’une petite distillerie de whisky établie près de la ville de Pitlochry dans le Perthshire. « Un petit bourg tout à fait charmant où il y a pléthore d’accueillants petits cafés et de belles boutiques », nous vante notre guide pour notre tournée des îles britanniques, Marie-Claude.
« Il s’agit, soutient-elle, de la plus petite distillerie légale d’Écosse. Elle se nomme « Edradour » et elle est établie depuis 1825! »
« Le whisky de malt est une appellation contrôlée. Normalement on le boit pur, sans glaçon ni eau! », nous précise-t-elle.
« Évidemment, nous aurons la chance d’en déguster. »
Sur la route, nous croisons plusieurs véhicules, notamment de petites « MG », participant à un rallye automobile.
Nous arrivons sur le site de la distillerie Edradour à midi!
Photo ci-dessus : Nous voici sur le site de la plus petite distillerie d’Écosse.
À la suite de notre guide, nous arrivons à l’entrée de la distillerie. Problème! Il y a eu, semble-t-il, mésentente sur notre heure d’arrivée. Notre guide et notre accompagnateur s’entendent avec les responsables des lieux pour que nous réalisions la visite dans un ordre inhabituel, et ce, pour ne pas nous faire attendre trop longtemps. Toutefois, nous devrons tout de même patienter une trentaine de minutes avant qu’un guide soit disponible.
Nous retournons à l’entrée principale et marchons sur une allée toute près d’un charmant ruisseau.
Photos ci-dessus : Bien que nous devions patienter, il est agréable de se balader sur le site de la distillerie Edradour.
Photo ci-dessus : De l’autre côté du ruisseau se trouvent les bâtiments de la distillerie.
Dans les airs flotte une odeur particulière.
Un guide local, portant le kilt, nous rejoint. Il se prénomme Frank et il ne parle pas français. Marie-Claude nous traduit ses propos. Il nous souhaite la bienvenue en nous informant qu’avant de prendre une lampée de whisky écossais, il faut lever son verre et dire slangiva, ce qui signifie « santé » en gaélique.
Photo ci-dessus : Notre guide Frank entouré à gauche d’un membre de notre groupe et à droite de notre guide Marie-Claude, certainement plus encline à boire du pastis plutôt que du whisky, cette dernière étant native de Marseille.
Frank nous conduit dans un bâtiment où des tables et des chaises sont installées en vue de la dégustation. Mais, ce n’est pas pour tout de suite.
On nous présente dans un premier temps une petite vidéo, en français, sur l’entreprise Edradour.
Le court métrage nous apprend qu’Edradour, une firme artisanale, est établie ici depuis 1825. Le travail des artisans se déroule sur cinq jours par semaine… et il n’est réalisé que par trois employés seulement.
Puis, on nous explique le processus de fabrication :
Tout d’abord, l’opération « maltage », qui consiste à faire germer les grains d’orge en les humidifiant pendant une semaine ou deux. Puis, les grains sont séchés et broyés. Le « maltage » ajoute un goût de fumet au whisky.
La deuxième opération est le « brassage » et elle consiste à mélanger la mouture avec de l’eau chaude pour transformer l’amidon des grains en sucre. Par le passé, les ouvriers utilisaient un balai de bruyère pour brasser la mouture. Ils allaient choisir eux-mêmes leur branche de bruyère pour brasser. Évidemment, ces méthodes font maintenant partie du folklore!
Suivra l’étape de la « fermentation » où des levures seront ajoutées pour permettre au liquide de fermenter pendant 48 heures. Le sucre sera alors transformé en alcool.
Tout est maintenant prêt pour la « distillation », une opération où, dans des alambics, l’eau est séparée de l’alcool par l’évaporation de l’H2O. Le whisky contient alors 70% d’alcool. C’est à cette étape que le savoir-faire des ouvriers permettra d’obtenir un whisky de qualité.
Il ne reste plus qu’à faire vieillir le précieux liquide dans des tonneaux de chêne, ce bois qui a la propriété de laisser passer un peu d’air à l’intérieur… ce qui permet à une certaine quantité de whisky de s’évaporer. Cette perte se nomme poétiquement « La part des anges »!
On nous mentionne également qu’en 2012, un film réalisé par Ken Loach a pris l’affiche sur les écrans des îles britanniques, « La part des anges », dans lequel le cinéaste fait découvrir l'univers des grands whiskys.
Puis, nous passons à la dégustation. Nous avons tous deux verres à déguster. Un de whisky et un autre de liqueur de whisky. Nous commençons par le whisky. J’aime bien, mais c’est beaucoup trop fort pour Céline… qui me cède son verre après ne s’y être que trempées les lèvres. Puis, c'est tout l'inverse pour la crème. Beaucoup trop sucré pour moi, alors que Céline aime bien. Je lui cède donc mon verre!
Notre guide nous demande de le suivre pour visiter quelques-uns des bâtiments de la distillerie.
Photo ci-dessus : L’édifice où on « engrange » l’orge!
Nous entrons dans l’entrepôt des barils. Nous voyons de gros tonneaux… des contenants de 800 gallons et d’autres plus petits!
Notre guide nous indique qu’ils ne peuvent utiliser le même baril pour le vieillissement que de deux à sept fois! Ce qui explique certainement la très grande quantité de barils entreposés.
Et il ajoute, toujours en anglais : « La mise de l’alcool en fût s’effectue deux fois par semaine ».
Photos ci-dessus : Beaucoup, mais vraiment beaucoup de barils!
« Certains de nos alcools restent dans les barils durant dix ans. Ce sont les tonneaux à sherry qui donnent la couleur ambrée du whisky et qui lui apportent 70 % de son goût. »
« Toutefois, tient-il à préciser, c’est une compagnie indépendante qui fait l’embouteillage pour nous par la suite. »
« Notre entreprise est la dernière en Écosse qui fabrique son whisky à la main! »
« Ici à Edradour, s’enorgueillit notre guide, nous produisons en un an ce que les grandes distilleries du pays mettent sur le marché en une semaine! »
Le bâtiment dans lequel nous nous trouvons est récent. C’est dans ce type d’entrepôts qu’ils gardent l’alcool en fût pendant au moins trois ans.
Nous sortons et entrons dans un autre bâtiment, celui où l’orge arrive en gros sac pour être broyée.
« Nous avons besoin de 9,000 litres d’eau chaude pour le broyage! »
Photo ci-dessus : Un sac de la précieuse céréale… qui représente la dépense la plus importante pour la distillerie!
Photo ci-dessus : Un employé d’Edradour en pleine opération de brassage.
Nous sortons et notre guide continue à nous entretenir whisky. « C’est en Grèce que l’on consomme le plus de whisky par habitant! », une affirmation qui n’est pas sans nous surprendre.
« Avant l’avènement de la distillerie Edradour, en 1825, l’endroit était le site d’un moulin à eau. »
Photo ci-dessus : Des vestiges de l’ancien moulin à eau!
Le site de la distillerie est superbement aménagé. Il y a des fleurs partout!
Photos ci-dessus : De superbes fleurs!
Nous terminons notre visite en nous rendant à la boutique où nous achetons une bouteille particulièrement dispendieuse pour notre fils.
Photo ci-dessus : Une belle bouteille… à 179£!
Nous remontons dans le car à 13 h 25.
Notre accompagnateur de Voyages Lambert, Abel Rodrigue nous indique que nous n’aurons que 30 minutes pour dîner dans la petite ville de Pitlochry.
Dix minutes plus tard, nous descendons du bus. Il fait 22 degrés Celsius. C’est très agréable.
Nous trouvons rapidement un petit commerce où nous achetons deux sandwichs… que nous mangeons dans le car! Nous n’apprécions vraiment pas et espérons que ce type d’expérience sera la dernière du périple!
Surtout qu’au petit village de Pitlochry il y a de belles terrasses, que le soleil est au rendez-vous et que l’endroit est fort joli…
Queen’s View
Nous repartons à 14 heures en direction de Queen’s View, un belvédère situé à peine à 10 km au nord de Pitlochry.
Il s’agit d’un observatoire installé au bord du loch Tummel dont la beauté du paysage y est époustouflante!
« L’endroit tire son nom de la visite de la reine Victoria en 1866 », note Marie-Claude.
Nous descendons du véhicule à 14 h 20.
Photos ci-dessus : Superbe panorama offert à « Queen’s View », avec au loin le mont Schiehallion qui culmine à 1,083 mètres!
Blair Castle
Après ce très court arrêt, nous regrimpons dans le car et repartons à 14 h 35, cette fois-ci en direction de Blair Castle… tout près.
Durant ce court trajet, Marie-Claude en profite pour nous entretenir sur le château que nous allons visiter.
« Le château dont la construction date du XIIIe siècle a été le théâtre de nombreuses visites royales, dont celle de Marie Stuart, qui y tient une grande chasse… où 366 cerfs et 5 loups furent tués en une seule journée. »
« Remanié à de nombreuses reprises, le château fut pratiquement reconstruit au XIXe siècle. Sa couleur blanche fait son charme! »
« Il est du même style que le palais de sir Walter Scott que nous avons vu à Abbotsford ».
« Le château est la résidence des ducs d’Atholl depuis le XIIIe siècle et il est aujourd’hui le château le plus visité de l’Écosse.»
« En 1995, une année avant de mourir, le dixième duc d’Atholl, George Murray, a remis le château à un trust, afin que le bâtiment et son contenu puissent être préservés et que les terres continuent à être bien utilisées. »
Sur notre route, nous apercevons des pavillons de chasse sur les grandes propriétés!
Nous traversons la petite rivière Tilt, elle qui sort d'un loch et qui se jette dans la rivière Garry, que nous traversons également.
Photo ci-dessus : La rivière Tilt coule dans un paysage superbe.
Notre chauffeur mène son véhicule sur une belle petite allée bordée d’arbres majestueux, des mélèzes. Il file ainsi jusqu’au stationnement du château.
Nous descendons du car à 15 heures et sommes accueillis par un paon qui criaille dans le stationnement… qui est bondé de cars de touristes.
Et effectivement, comme nous l’a mentionné Marie-Claude, le château est tout de blanc.
Photo ci-dessus : Malheureusement pour nous, des ouvriers sont à repeindre le château de Blair… et une mini-grue d’un rouge éclatant est stationnée devant le blanc château!
Nous entrons.
Sur les murs du hall d’entrée se trouvent plusieurs fusils et de nombreux sabres… et devant le foyer, il y a des boules de curling!
Un guide bénévole nous mène à l’intérieur de la maison. Nous empruntons un corridor décoré de panaches de cervidés sur les murs.
D’entrée de jeu, notre guide annonce : « Le dixième duc d’Atholl, George Murray, est mort en 1996, sans enfant. Les responsables de la succession ont cherché un héritier et ils ont découvert un cousin de la famille… vivant en Afrique du Sud. »
« Ce dernier a donc hérité d’un château et d’un domaine de 145,000 acres! Depuis, il séjourne au château un mois par année, normalement en mai, alors qu’il en profite pour passer en revue les Atholl Highlanders, l’unique armée privée autorisée en Grande-Bretagne! »
Nous montons au deuxième étage et entrons dans un petit salon où deux grandes fenêtres permettent à la lumière d’entrer et de se refléter sur un miroir placé stratégiquement au-dessus de la cheminée.
Il y a des fauteuils dont les tissus les recouvrant ont été brodés à la main.
Nous passons dans le salon du thé, puis dans la salle à manger où il y a une énorme cruche de 24 litres de whisky ayant appartenu au deuxième duc. Une grande table est dressée de dix couverts.
Photo ci-dessus : Le salon de thé du château de Blair!
Le plafond est blanc décoré de médaillons aux quatre coins de la pièce. « Ceux-ci, nous indique la guide locale, ont nécessité dix ans de travail ».
Nous entrons maintenant dans la « chambre bleue », elle qui est située dans la tour de Comyn, la seule qui soit d’origine (nommée en l’honneur de John Comyn, qui fit construire le château en 1269). Il y a un lit à baldaquin et un grand tableau représentant Louise Moncrieffe, l’épouse du septième duc. Elle était d’une grande beauté, disait-on d’elle à l’époque victorienne.
Photo ci-dessus : Le lit de la chambre bleue!
Nous montons à un autre étage.
Nous traversons le couloir nous menant aux appartements du quatrième duc, lui qui était membre de l’ordre du Chardon.
« Il a fait planter des millions (sic) d’arbres… pour l’effort de la guerre », nous indique notre guide. « Mais ils ont mis 40 ans à pousser. Peut-être est-ce dû à la méthode utilisée pour l’ensemencement, car le duc a fait lancer les graines… à coups de canon! »
Nous entrons dans la « salle Derby », servant de salon et de chambre à coucher. La reine Victoria a dormi ici en 1844.
Photo ci-dessus : Probablement un lit dans lequel a dormi la reine Victoria.
« Cromwell a assiégé cette maison durant sept mois en 1652. La duchesse de l’époque en a profité pour faire des broderies de rideau d’une grande ampleur, dont nous voyons le résultat dans cette chambre. »
Nous arrivons dans un grand salon, tout en longueur, meublé de mobiliers superbes et d’un grand paravent chinois qui prennent place devant un magnifique foyer surmonté d’un oiseau empaillé!
Puis nous voici dans la « salle des tapisseries », réalisées par des artistes flamands. Il y a des pots avec des plumes d’autruche, « des symboles de richesse et fécondité », lance notre guide, en précisant que « le deuxième duc a été marié 2 fois et a eu 20 enfants ».
Nous terminons la visite à 15 h 55.
Notre accompagnateur, Abel Rodrigue, nous indique que nous allons repartir à 16 h15… ce qui nous laisse une vingtaine de minutes pour nous promener sur le site.
Photos ci-dessus : Les magnifiques bâtiments blancs de Blair Castle.
En route pour Inverness
Nous repartons à 16 h 20, en route pour Inverness où nous nous installerons au New Drumossie Hotel, un petit établissement de 44 chambres de la chaîne hôtelière Macdonald, pour une toute petite nuit!
Nous voyons des moutons dans les champs… et une carcasse de l’un d’eux, mort en bordure de la route!
Notre guide profite de l’occasion pour nous informer que dans une telle situation, le berger n’a pas le droit d’enterrer son animal n’importe où. Il doit l’apporter dans un site spécifique en raison des risques de maladies pour les autres animaux.
Nous voyons la neige sur le sommet des montagnes… ainsi que des champs de bruyère. Mais, nulle maison en vue.
Photo ci-dessus : Les champs de bruyère et la neige au sommet de la montagne.
« La bruyère est en fleur à la fin de l’été », souligne Marie-Claude.
« Inverness vers où nous filons, enchaîne notre guide, est située à l’embouchure de la rivière Ness, la rivière qui se jette dans le légendaire Loch Ness! »
« La ville d’Inverness a été fondée au XIXe siècle pour accueillir les travailleurs affectés à la construction du canal calédonien. Celui-ci a été construit entre 1804 et 1822 et il est long d’un peu plus de 96 kilomètres. Toutefois, son tracé traversant trois grands lacs, le loch Lochy, le loch Oich et le loch Ness, les véritables canaux ne s’étirent que sur 35 kilomètres. Ils comportent 29 écluses. »
Nous arrivons à l’hôtel à 18 heures.
Lors de la remise des clés, Abel Rodrigue, notre accompagnateur, nous indique que le souper sera servi à 19 h 30. Il ajoute également que demain matin, nous quittons dès 8 heures. Conséquemment, il nous demande de laisser nos bagages devant notre porte de chambre au plus tard à 7 heures.
Nous montons à notre chambre… qui est très belle. Céline lui accorde d’ailleurs quatre étoiles!
Photos ci-dessus : Notre chambre au New Drumossie Hotel.
Nous rejoignons le groupe au restaurant de l’hôtel à 19 h 30 pour le souper où nous partageons notre table avec Monique et Gérard.
Le repas est délicieux. En entrée, Céline a droit à une terrine de poulet confit sur toast accompagné d’un chutney d’ananas, tandis que je me régale d’une langouste au whisky!
Comme plat principal Céline avait choisi un risotto aux courges et mascarpone et moi un filet de saumon pané avec légumes… Nous arrosons le tout d’un verre de vin blanc et d’une bière Guinness!
Mais, c’est le dessert qui était le point d’orgue de notre repas : un dessert spécial de la région, un sticky toffee pudding arrosé d’une toffee sauce… accompagné de crème glacée à la vanille. Sublime!
Nous remontons à la chambre à 21 h 30 et préparons, encore, nos valises pour le départ de demain matin.
Lorsque nous nous couchons à 23 heures, dehors, il fait encore clair.
Méli-Mélo
Tous les ans, les Highland Games, qui visent à célébrer la culture écossaise, ont lieu à Braemar, un village situé dans l'Aberdeenshire sur les rives de la rivière Dee, très près du château de Balmoral.
Dans les épreuves les plus populaires, il y a le « lancer du tronc d’arbre », le « tir à la corde » et évidemment les défilés de joueurs de cornemuse.
Le mot whisky, lorsque le précieux liquide est écossais s’écrit avec un « y », tandis que le whiskey irlandais s’écrit avec un « ey ». Il est à remarquer que le whisky canadien s’écrit, comme en Écosse, avec un y, tandis que le whiskey américain s’écrit à l’irlandaise avec un « ey »!
À suivre…
Tour de ville d’Inverness et route en bordure du loch Ness!
Photo ci-dessus : L'imposant château d'Inverness!
Bibliographie
Bleinheim Palace, Guide des lieux, 1988, 49 pages;
Atlas en fiches, Royaume-Uni, l’Angleterre, l’Écosse, régions d’Angleterre, Cambridge et Oxford, Édimbourg, la Tamise, etc., Éditions Atlas, 2008;
Encyclopédie libre Wikipédia Royaume-Uni, Angleterre, Oxford, la Tamise, Écosse, Édimbourg, Glasgow et plusieurs autres pages;
Lonely Planet - Écosse , Publication Lonely Planet, 2011, version numérique;
La Gloire de l’Écosse, Jarrold Colour Publications, 1989, 116 pages;
L’Écosse, Jean-Louis Mathon, 1990, 125 pages;
À la découverte de l’Écosse, Luc Giard, 2005, 65 pages;
Le Patrimoine mondial de l'UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages.
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