Oct/150
Dresde… la « Florence allemande »! (5e partie)
Texte et recherches de Céline et Jacques Lanciault
Voici le 58e d’une longue série de reportages relatifs à un fascinant voyage en Allemagne que nous avons réalisé avec Voyages Lambert à l’automne 2015!
Dresde, Saxe, Allemagne, jeudi 22 octobre 2015 – Ce n’est pas les coups de cœur qui manquent depuis le début de notre périple en Allemagne… Après Trèves et sa magnifique Porta Nigra, notre inoubliable croisière sur le Rhin, puis le vieux pont d’Heidelberg et son château tous deux admirés au soleil couchant, voici maintenant Dresde… une ville qui étonne tant par l’abondance de son patrimoine que par la splendeur de celui-ci. La cité sise sur les berges de l’Elbe n’a certes pas volé son surnom de « Florence de l’Elbe » !
Nous consacrons une journée complète à la visite de la capitale de Saxe, elle qui fut le lieu de résidence des princes électeurs et des rois saxons durant près de 750 ans. Une journée qui promet !
Pour cette cinquième partie de notre texte, voici un résumé de nos déambulations dans la magnifique « Galerie de peintures des Maîtres anciens », la Gemäldegalerie Alte Meister du Zwinger !
Photo ci-dessus : Lors de notre visite à la « Galerie de peintures des Maîtres anciens » de Dresde, nous avons eu l’occasion d’admirer ce superbe portrait de Marie Josèphe de Saxe, dauphine de France, une œuvre réalisée en 1749 par Maurice-Quentin de La Tour, un portraitiste pastelliste français.
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Toujours devant l’Opéra Semper que nous venons tout juste de visiter, notre accompagnatrice de Voyages Lambert, Krystyna Wozniak, nous informe que la visite de la Galerie de peintures des Maîtres anciens du Zwinger, la Gemäldegalerie Alte Meister en allemand, est au programme de nos visites à Dresde, mais que plusieurs membres du groupe l’ont informée qu’ils n’y seraient pas…, et ce, pour profiter du reste de la journée et de la soirée qui est libre !
Afin de ne pas retenir indument notre guide locale à Dresde, Krystyna nous demande s’il y a tout de même des gens qui souhaitent y aller… nous incluant, nous sommes seulement quatre. Nous bénéficierons donc d’une visite guidée… presque privée avec Heidelind.
En nous dirigeant vers le palais Zwinger, Heidelind nous informe que le bâtiment qui abrite la Gemäldegalerie Alte Meister est sous le coup d’importants travaux de rénovation, car il a été reconstruit après la Seconde Guerre mondiale. « Pour cette raison, précise-t-elle… la moitié seulement de la galerie est accessible au public ! »
Mais, elle ajoute que les toiles qui font la renommée internationale de la Galerie de peinture des Maîtres anciens, « La Madone Sixtine » de Raphaël, « La liseuse à la fenêtre » de Vermeer et bien des toiles de Van Eyck, de Dürer, de Poussin, de Murillo, de Canaletto, etc. peuvent tout de même y être admirées.
Elle précise également avant d’entrer au musée que « l’accrochage des toiles dans les 23 salles du musée a été entièrement revu en 2013. L’ordre de présentation est plutôt par grands thèmes que chronologique. On retrouve les thèmes du portrait à l’époque de Dürer, des autels autour des années 1500, du caravagisme, du maniérisme, etc. Cette façon de procéder, dit-elle, permet de comparer les œuvres par-delà des frontières territoriales, ce qui révèle souvent des aspects qui en utilisant un autre ordre de présentation échapperaient au regard du visiteur. »
Nous entrons et remisons nos manteaux et appareils photo au vestiaire ! Les photos sont interdites… et pourtant sur Internet on peut retrouver la majeure partie des collections présentées ici !
Nous commençons notre visite par la grande salle, où la collection qui est présentée a été réunie au XVIIIe siècle.
Nous nous arrêtons devant une toile représentant Saint Sébastien transpercé de flèches. Il s’agit d’une œuvre intitulée « San Sebastian » réalisée par Antonello da Messina en 1478. Notre guide attire notre attention sur la perspective toute en profondeur que l’artiste a donnée à son œuvre.
Photo ci-dessus : San Sebastian d’Antonello da Messina est la seule partie qui reste d’un triptyque réalisé en 1478. (Photo provenant d’Internet)
Nous voyons également une toile de Francesco del Cossa intitulée « L’annonciation » et réalisée en 1470.
Photo ci-dessus : L’œuvre de l’Italien Francesco del Cossa a ceci de particulier qu’on y retrouve un escargot au premier plan ! (Photo provenant d’Internet)
Puis, notre guide nous dirige vers l’œuvre phare du musée, la « Madone Sixtine » peinte par Raphaël au XVIe siècle.
« Cette œuvre a une histoire plutôt intéressante. Il s’agit de la dernière des madones que le grand Raphaël a peinte de ses propres mains. Il l’a réalisée vers 1513-1514. Elle était destinée aux moines bénédictins du monastère Saint-Sixte. En 1754, la peinture est vendue à Auguste III de Saxe qui l'expose dans sa collection à Dresde. Après la Seconde Guerre mondiale, la peinture est emportée avec d'autres tableaux du musée comme butin de guerre à Moscou… où elle restera jusqu'en 1955. Au printemps 1955, les autorités soviétiques acceptent de rendre les tableaux, mais non sans les exposer gratuitement à la population russe pendant 90 jours! »
Photo ci-dessus : La Vierge, debout, qui porte l'Enfant Jésus dans ses deux bras, une œuvre superbe de Raphaël. (Photo provenant d’Internet)
De la Madone de Raphaël, nous passons aux « Sept douleurs de la Vierge » d’Albrecht Dürer, une œuvre qui date de 1495. « Ce polyptyque n’est pas totalement un original, en effet le panneau central est conservé à Munich ».
Photo ci-dessus : « Les sept douleurs de la Vierge » est d’Albrecht Dürer. (Photo provenant d’Internet)
Nous arrivons dans une salle de portraits et celui vers lequel nous amène notre guide représente Bernhart von Reesen réalisé par Albretch Dürer en 1521.
Photo ci-dessus : Le portrait de Bernhart von Reesen est d’Albrecht Dürer. (Photo provenant d’Internet)
Nous nous arrêtons également quelques instants devant Bildnis Eines Knaben, ce qui signifie en français, « Portrait d’un garçon ». L’œuvre est du peintre italien surnommé Pinturicchio, dont le vrai nom est Bernardino di Betto.
Photo ci-dessus : « Portrait d’un garçon » de Pinturicchio. (Photo provenant d’Internet)
Après avoir admiré le portrait de Sieur de Morette, réalisé par Hans Holbein en1534, un portrait très réaliste, nous arrivons devant un nu ! Il s’agit de « La Vénus endormie » de Giorgione réalisé vers 1510. Notre guide précise que l’œuvre a été terminée par le Titien… « ce qui lui a valu sa renommée », ajoute-t-elle !
Photo ci-dessus : « La Vénus endormie » de Giorgione ! (Photo provenant d’Internet)
Avant de monter au deuxième étage, notre guide attire notre attention sur une toile du Tintoret, datant de 1566 et titrée en anglais « Women making music ».
Nous entrons dans une salle dédiée au « Courant sentimentaliste et aux lumières ». Il y a de beaux pastels!
Nous admirons « La Belle Chocolatière », un pastel réalisé en 1744 par le peintre suisse Jean-Étienne Liotard. « Cette œuvre, représentant une jeune fille qui porte un plateau avec une tasse de chocolat en porcelaine et un verre d'eau, serait, selon les experts, le chef-d'œuvre de l’artiste », affirme notre guide.
Photo ci-dessus : « La Belle Chocolatière » de Jean-Étienne Liotard, un artiste peintre que nous avons découvert lors de notre visite de la « Gemäldegalerie Alte Meister » de Dresde ! Ses œuvres sont tout simplement géniales. (Photo provenant d’Internet)
Nous passons devant une section où il y a de nombreuses toiles de Canaletto, dont évidemment quelques-unes dépeignant le Grand Canal de Venise.
Nous voici maintenant dans la salle des maîtres hollandais… et la première toile que nous présente Heidelind est « La Liseuse à la fenêtre », un tableau de Johannes Vermeer peint vers 1657. Notre guide attire notre attention sur la signature de l’artiste que nous apercevons sur le mur, entre la robe de la jeune femme et le rideau… « JMeer ».
Photo ci-dessus : « La Liseuse à la fenêtre » de Johannes Vermeer. (Photo provenant d’Internet)
Notre guide nous amène tout près d’une grande toile intitulée « Dresde et le pont Auguste vus de la rive droite de l’Elbe ». Une superbe toile réalisée en 1748 par le peintre italien Bernardo Bellotto… qui aimait être appelé Canaletto, comme son oncle!
Photo ci-dessus : « Dresde et le pont Auguste vus de la rive droite de l’Elbe » de Bernardo Bellotto. (Photo provenant d’Internet)
Nous voyons une maquette en bois avec des photos des œuvres « qui avaient été entreposées dans les anciennes écuries, parce qu’à l’époque, nous précise notre guide, il n’y avait pas suffisamment de place dans le château. Cette maquette fut remise à l’ancien directeur du musée, quand il prit sa retraite ».
Nous descendons un étage. Il y a une magnifique voûte centrale et tout près une salle dédiée à Rembrandt.
Nous traversons la salle des Rubens, dont « Bathsheba à la fontaine », une œuvre de 1635. Il y a également la toile « Le jugement de Paris », elle aussi de 1635.
Photo ci-dessus : « Bathsheba à la fontaine» de l’artiste-peintre flamand Pierre Paul Rubens. (Photo provenant d’Internet)
Puis, la salle Titien où est exposée « Cristo della moneta », une œuvre de 1516 qui a été réalisée sur du bois de peuplier sur un meuble appartenant au duc d’Este de Ferrare.
Nous passons rapidement dans la salle de Veronèse, où nous apercevons « La présentation du Christ au temple », une œuvre de l’artiste italien datant de 1555.
Voici quelques autres œuvres que nous avons particulièrement aimées.
Photo ci-dessus : « Vierge à l’enfant » de Bartolomé Esteban Murillo (1670), un peintre que nous avons découvert à Séville en 2014. (Photo provenant d’Internet)
Photo ci-dessus : «L’Entremetteuse », de Johannes Vermeer (1656). (Photo provenant d’Internet)
Photo ci-dessus : « Le dentiste » de Gérard von Honthorst (1622). (Photo provenant d’Internet)
Photo ci-dessus : « Vieille femme au panier de charbon » de Pierre Paul Rubens (1616). (Photo provenant d’Internet)
Notre guide nous quitte à 16 h 40. Nous la remercions chaleureusement, car la visite a été très intéressante.
Nous décidons de remonter au troisième étage pour revoir la salle des portraits au pastel sur papier. Nous y admirons, entre autres « Le Turc », de Rosalba Giovanna Carriera, une peintre vénitienne, qui lança la mode du pastel en France lors de son passage à Paris en 1720, ainsi qu’un auto-portait de Jean-Étienne Liotard vêtu d’un costume turc (1744).
Avant de quitter, nous achetons quatre cartes postales du musée, ne sachant pas à ce moment que nous étions pour retrouver la plupart des œuvres présentées ici sur « la grande toile ».
Nous sortons à 17 heures et nous nous rendons marcher sur le pont de pierre, le pont Auguste, mais étant donné qu’il commence à faire noir, nous ne nous rendons pas sur l’autre rive de l’Elbe.
Nous retournons à l’hôtel où nous arrivons à 17 h 55.
Nous nous rafraîchissons et repartons un peu passé 18 h 30 à la recherche d’un restaurant pour souper.
Après avoir déambulé dans les petites rues autour de l’hôtel, nous entrons finalement au « Classico Italiano ». Céline commande un verre de vin blanc avec une pizza hawaïenne, tandis que je déguste une bière et un spaghetti sauce à la viande.
Nous terminons notre repas en partageant un schokotorte… sublime! Un repas somme toute pas très dispendieux à 38€.
Photo ci-dessus : Agréable soirée, bon repas, de la bonne musique avec pianiste et chanteur… au restaurant Classico Italiano. (Photo provenant d’Internet)
Nous revenons à la chambre vers 20 h 30 et préparons nos valises, car demain nous quittons Dresde à destination de Berlin… notre ultime arrêt en Allemagne
À suivre…
Berlin… Les restes du « Mur » et le palais du Reichstag pour amorcer notre découverte de la capitale de l’Allemagne.
Photo ci-dessus : Une partie restante du fameux « Mur de Berlin ». Nous aurons la chance d’en longer une très longue partie. (Photo Jacques Lanciault)
Textes précédents :
Vous pouvez lire les textes précédents de nos reportages sur l'Allemagne en cliquant sur les liens ci-dessous ou en accédant directement à l'onglet "Allemagne" de la rubrique « Voyages » de la barre de menu.
Notre voyage en Allemagne : Trajet proposé par "Voyages Lambert"
1er texte : Willkommen in Köln… Bienvenue à Cologne, sur les berges du Rhin!
2e texte : Cologne: sa cathédrale, ses berges sur le Rhin et ses belles maisons !
3e texte : À Aix-la-Chapelle… sur les traces de Charlemagne!
4e texte : La cathédrale d’Aix-la-Chapelle ou Charlemagne en pièces détachées!
5e texte : La Porta Nigra et le Haupmarkt, la place du Marché!
6e texte : L’imposante cathédrale de Trèves et son cloître!
7e texte : Trèves : l’ancien palais du prince-électeur… et la basilique romaine de Constantin!
8e texte : Trèves, métropole romaine... dont le cœur bat toujours… au Musée de Rhénanie!
9e texte : Bernkastel-Kues… ville aux bellissimes maisons médiévales à colombages !
10e texte : Cochem : fontaines, église aux magnifiques vitraux, une mosaïque, etc.!
11e texte : Coblence… de passage seulement et c’est dommage !
12e texte : De Coblence à Bacharach… au fil du Rhin romantique!
13e texte : Bacharach sublime découverte d'une ville...
14e texte : Heidelberg : le Vieux pont et le Chemin des philosophes… pour commencer !
15e texte : Le château de Heidelberg… et surtout ses impressionnantes ruines !
16e texte : Les jolies places au cœur de la vieille ville de Heidelberg et l’église Saint-Esprit !
17e texte : Bad Wimpfen : une haute tour, une superbe église et de jolies maisons...
18e texte : L’Hôtel Eisenhut de Rothenbourg… Wow !
19e texte : Wurtzbourg : l’imposante forteresse de Marienberg !
20e texte : Le « Maître de Wurtzbourg » : Tilman Riemenschneider !
21e texte : Wurtzbourg : Vieux Pont, centre historique, cathédrale et Résidence! (1re partie)
22e texte : Wurtzbourg : Vieux Pont, centre historique, cathédrale et Résidence! (2e partie)
23e texte : Rothenbourg: l'église Saint-Jacques, des tours médiévales..., etc. !
24e texte : Nuremberg: les ruines d’un centre de congrès nazi, un château… !
25e texte : Nuremberg : l’église Saint-Sébald… et une vue imprenable sur la rivière Pegnitz!
26e texte : Nuremberg: l’église Saint-Laurent, la vieille ville, les saucisses et le procès!
27e texte : Dinkelsbühl : une belle cathédrale, de jolies maisons et une touchante légende !
28e texte : La Fuggerei d’Augsbourg: les plus anciens logements sociaux au monde!
29e texte : Augsbourg : La cathédrale Notre-Dame, les chefs-d’œuvre d’Holbein l’Ancien!
30e texte : Augsbourg : L’hôtel de ville et sa superbe salle dorée!
31e texte : Le château de Neuschwanstein… dans la purée de pois!
32e texte : De petit pavillon de chasse..., Linderhof est devenu un véritable château!
33e texte : Fresques des maisons d’Oberammergau... château à Munich: Nymphembourg!
34e texte : Munich : la magnifique porte Isartor, l’Hôtel Torbrau, la rue Tal et ses alentours!
35e texte : Munich : tour de ville en autocar et arrêt au magnifique siège social de BMW !
36e texte : Munich : promenade dans la vieille ville (1re partie)!
37e texte : Munich : promenade dans la vieille ville (2e partie)!
38e texte : Brueghel, Cranach, Durër, mais aussi Raphaël, Vinci... à l’Alte Pinakothek
39e texte : Ratisbonne : rôtisserie de saucisses, vieux pont sur le Danube et ruines romaines
40e texte : Le vieil Hôtel de Ville... la Haidplatz et les petites ruelles de Ratisbonne!
41e texte : Ratisbonne : la cathédrale Saint-Pierre… et ses trésors de statues de pierre !
42e texte : De la rivière Regnitz… des vues imprenables sur Bamberg...! (1re partie)
43e texte : De la rivière Regnitz… des vues imprenables sur Bamberg...! (2e partie)
44e texte : Bamberg : colline de l’Évêque, cathédrale et résidence de l’homme d’Église!
45e texte : L’église des 14 Saints intercesseurs… pour ceux qui aiment le style baroque!
46e texte : Wartbourg : de superbes mosaïques et le lieu de travail de Martin Luther!
47e texte : Erfurt : la superbe Domplatz dominée par une cathédrale et une église !
48e texte : Erfurt: une vieille synagogue, un pont habité, des maisons... (1e partie)
49e texte : Erfurt: une vieille synagogue, un pont habité, des maisons... (2e partie)
50e texte : Weimar: places de la Démocratie, du Marché, Hôtel de Ville, Goethe (1e partie)!
51e texte : Weimar: places de la Démocratie, du Marché, Hôtel de Ville, Goethe (2e partie)!
52e texte : Weimar : un tout petit musée pour un très grand mouvement, celui du Bauhaus
53e texte : Wow ! La manufacture nationale de porcelaine Meißen
54e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (1re partie)
55e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (2e partie)
56e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (3e partie)
57e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (4e partie)
Bibliographie
Aachen, Aix-la-Chapelle, guide de la ville et de la cathédrale,, Édition Michael Imhof Verlag, 2011, 31 pages;
Allemagne, Guide Vert, Michelin guides touristiques, 2015, 690 pages;
Allemagne, faits et réalités,, Societäts Verlag, 2010, 192 pages;
Allemagne, des villes vivantes, Office national allemand du tourisme, 2010, 198 pages;
Atlas en fiches,, Éditions Atlas, 2008;
Cartoville - Berlin, Guides Gallimard, 12e édition ;
Encyclopédie libre Wikipédia Allemagne, Cologne, Aix-la-Chapelle, Trèves et plusieurs autres pages;
La cathédrale de Bamberg, trésor de foi , Publication de l’Archevêché de Bamberg, 2015, 30 pages;
LonelyPlanet - Berlin , Publication LonelyPlanet, 2013, 352 pages;
Patrimoine mondial de l'UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages;
Trèves, à la découverte de la plus vieille ville d’Allemagne, Rahmel-Verlag, 48 pages.
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