Oct/150
Berlin… de longs restes du « Mur » à l’East Side Gallery
Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault
Voici le 59e d’une longue série de reportages relatifs à un fascinant voyage en Allemagne que nous avons réalisé avec Voyages Lambert à l’automne 2015!
Berlin, Allemagne, vendredi 23 octobre 2015 – Wow ! Nous voilà à Berlin, la capitale de l’Allemagne réunifiée… dernier arrêt de notre superbe périple allemand. Nous aurons la chance de découvrir la ville de long en large, puisqu’outre nos trois jours ici avec le groupe de Voyages Lambert, nous restons à Berlin une semaine de plus!
Pour amorcer nos visites de cette magnifique ville, pourtant détruite de toute part lors de la Deuxième Guerre mondiale, toujours en reconstruction aujourd’hui d’ailleurs, allons-y d’une promenade le long des 1,3 km qui reste de son célèbre, et de triste mémoire, « Mur de Berlin»!
Photo ci-dessus : Céline et moi posons ici devant les très colorés restes du «Mur de Berlin».
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Malgré que nous ne quittions Dresde qu’à 9 h 30, nous nous levons dès 6 h 00.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner à la salle à manger de notre hôtel, le Hilton de Dresde, où une nuée de touristes asiatiques a déjà envahi les lieux.
Après avoir bouclé et placé nos valises à la porte de notre chambre, nous partons pour une dernière petite promenade dans la capitale de Saxe, une ville que nous avons adorée.
Encore ce matin, il y a peu de soleil. Le ciel est pratiquement couvert de nuages et c’est plutôt froid.
Après avoir jeté un autre coup d’œil sur la très belle église Notre-Dame de Dresde, réalisé une autre virée sur la grande place qui la jouxte, s’être exclamés une dernière fois devant l’immense mur de mosaïques de la « Procession des princes » et d’oser un dernier regard sur le vieux pont de pierre et sur l’Elbe... nous revenons à l’hôtel !
Photo ci-dessus : Une vue assez surprenante de l’église Notre-Dame de Dresde, une photo prise d’une terrasse déserte sise en face du lieu de prière.
Photo ci-dessus : Une statue que nous avions ratée hier… Frédéric-Auguste II, le troisième roi de Saxe.
Tout en nous promenant et en discutant de notre voyage, nous constatons que notre accompagnatrice de Voyages Lambert, Krystyna Wozniak, est toujours très bien accueillie par les guides locaux !
Il faut dire qu’elle en est, si notre mémoire est fidèle, à son dixième voyage en Allemagne et qu’elle s’est assurée, au fil des ans, de recourir pour ses périples ici aux guides dont elle avait pu apprécier le travail.
Qui plus est, elle prend grand soin de chacune et de chacun d’eux, en leur offrant lors de la fin des visites de petits cadeaux… des cartes postales du Canada, du sirop d’érable, un petit bijou, etc. De petites attentions certainement très appréciées des guides. En fin de compte, c’est nous qui en profitons, car maintenant que nous achevons le périple, force nous est d’admettre qu’ils et elles ont tous été très bons.
En route pour Berlin
Nous rejoignons le groupe dans le hall d'entrée de l’hôtel à 9 h 15, nous grimpons dans l’autocar et Gabor, notre chauffeur, met son véhicule en marche dix minutes plus tard… direction : Berlin !
Krystyna nous informe que nous devrions arriver dans la capitale allemande aux alentours de 11 h 15. « Nous nous rendrons dans un premier temps à « East Side Gallery » pour admirer le plus long tronçon de l’ancien « Mur de Berlin » qui a été conservé. »
« À cet endroit, le mur s’étire sur 1,3 kilomètre… mais, nous prévient-elle, ce haut lieu touristique de la ville de Berlin est devenu une cible de choix pour les graffiteurs ! »
« Puis, ajoute-t-elle, nous dînerons sur Alexander Platz et nous nous dirigerons, surprise pour le groupe, visiter le Reichstag, une bâtisse reconstruite après la guerre par l’architecte britannique Norman Foster. Notre réservation pour la visite de la superbe coupole de l’édifice est prévue pour 14 heures. »
« Après la visite, nous nous installerons à l’hôtel et le souper sera libre. »
« Toutefois, s’empresse-t-elle d’ajouter, pour ceux et celles qui ont réservé des billets pour le concert à la Philhamornie, nous partirons de l’hôtel à 19 h 15. »
S’incluant, elle nous informe que nous serons 19 qui assisteront à ce spectacle!
Après ces quelques mots, notre accompagnatrice vient vers nous et nous demande comment nous avons aimé notre visite d’hier à la « Galerie de peintures des Maîtres anciens » du Zwinger. Nous lui confirmons que ce fut une superbe visite.
La Trabant !
Reprenant le micro de l’autocar, Krystyna, nous parle d’un véhicule que nous aurons l’occasion de croiser dans les rues de Berlin… la « Trabant » !
« À Berlin, c’est certain que nous verrons des voitures « Trabant ». Elles étaient très populaires durant la période communiste. Tout le monde rêvait d’en posséder une. »
« Ils en ont fabriqué 3 151 385 exemplaires, de toutes les couleurs, même rose bonbon. Il y en aurait encore 52 000 en circulation ! »
Photo ci-dessus : Anticipons sur notre visite de demain… où nous croiserons, tout près de la porte de Brandebourg, notre première Trabant du périple !
« La Trabant, continue Krystyna, a été fabriquée à partir de 1957. Initialement conçue comme une voiture économique et robuste… elle est rapidement devenue dispendieuse en raison des « options » obligatoires à l’achat, tout comme elle est vite devenue désuète côté technique. En fait, elle est plus que tout, le symbole de l’échec économique de la République démocratique allemande (RDA). »
« C’était un véhicule révolutionnaire à ses débuts : un moteur à l’avant en position transversale, pas de pompe à eau ni de pompe à huile, pas plus que de pompe à essence, les constructeurs ayant mis à profit la gravité en lieu et place des pompes ! »
« Malgré sa grande popularité, il faut admettre que les « Trabant » étaient construites avec des matériaux peu solides. Sa carrosserie en plastique devenait, en cas d’impact, très dangereuse pour les passagers. La plupart du temps, après un accident, le véhicule était déclaré « perte totale ». »
« Qui plus est, elle était très polluante… mais à ses tout débuts elle était une merveille de la technologie. »
« Par ailleurs, à l’époque le système socialiste posait de nombreuses conditions pour qu’une ou un Est-Allemand puisse bénéficier d’une voiture : il fallait par exemple posséder sa carte du Parti communiste, s’être distingué par de bonnes actions sociales, avoir dénoncé des opposants, ou encore avoir ou occupé un poste à responsabilités. »
« La demande en voitures neuves n’était donc pas excessivement importante, mais il fallait malgré tout s'armer de patience pour obtenir une Trabant neuve : les délais de livraison dépassaient parfois les 10 ans… »
«Avec la chute du Mur et la fin du régime communiste, ce fut également la fin de la Trabant».
Le dopage des athlètes est-allemands
Puis, après quelques minutes de silence, Krystyna nous fait la lecture d’un passage du livre « Le Mur dans les têtes, chroniques d’Allemagne », de Yannick Pasquet.
L’extrait traite du dopage des jeunes athlètes de la RDA en vue de leur participation aux Jeux olympiques… « Ils étaient drogués à leur insu, et ce, dès l’âge de dix ans… tout cela dans le but d’augmenter les performances ! »
Il y a eu beaucoup d’effets secondaires importants, y apprend-on, occasionnant des séquelles pour toute la vie des ex-athlètes.
Tropical Island
Nous filons sur l’autoroute 13 et nous apercevons au loin, perdu en plein milieu d’un champ, un immense dôme ! Il s’agit de « Tropical Island ». L’endroit recrée une île tropicale où se trouve la plus grande piscine tropicale intérieure au monde.
L’encyclopédie libre « Wikipédia » nous apprend que Tropical Island est abrité dans un ancien hangar désaffecté de 360 mètres de long sur 210 mètres de large et qui est haut de 107 mètres. Avec ses 5,5 millions de mètres cubes, il fait partie des plus grands bâtiments au monde du point de vue du volume. C’est d’ailleurs le plus grand hall simple sans pilier de soutien interne au monde.
Photo ci-dessus : Le hangar qui abrite aujourd’hui Tropical Island, qui a coûté 78 millions d’euros à construire, a été conçu, à l’origine, pour ranger un dirigeable… qui n'a jamais été construit. (Photo provenant de l’encyclopédie Wikipédia)
La chute du Mur
Après une petite pause santé dans une station-service, nous reprenons la route à 11 h 20, alors que Krystyna nous lit un autre chapitre du livre de Yannick Pasquet, celui-ci traitant de l’annonce de la chute du Mur !
En fait, elle nous raconte un événement qui a eu lieu le 9 novembre 1989 à 18 heures, alors que Günter Schabowski se présente devant la presse internationale pour informer les médias des dernières décisions du régime, mais sans mentionner tout de suite l’ouverture des frontières.
En réponse à une question d’un journaliste, Schabowski lut à voix haute un document annonçant que des visas pour voyager ou émigrer à l’étranger seront délivrés « sans condition » préalable.
Évidemment, le journaliste pose la question « À partir de quand ? ». Schabowski hésita puis improvisant déclara : « Autant que je sache... tout de suite, immédiatement. »
C’est alors que plusieurs correspondants de presse bondirent hors de la salle et que l’information crépita sur les fils de toutes les agences du monde: « Les Allemands de l’Est peuvent se rendre à l’étranger dès maintenant. »
Berlin
Alors que nous sommes sur le point d’entrer dans Berlin, Krystyna nous mentionne : « Berlin a une superficie huit fois plus grande que celle de Paris. Le tiers est constitué de lacs, de forêts et de parcs. »
Nous entrons dans Berlin. Nous voyons des immeubles à l’allure sévère, presque tous de la même couleur. Nous prenons une avenue bordée de platanes, Puschkinallee.
Droit devant nous, il y a la « Tour de télévision », Fernsehturm, en allemand, que nous reverrons de partout lors de nos balades dans la ville.
Photo ci-dessus : La superbe « Tour de télévision »… que nous avons immortalisée quelques jours plus tard… alors qu’il faisait beau. Elle a été construite en 1969, l’édifice est le plus haut d’Allemagne. Il culmine à 368 mètres.
Puis, nous apercevons un monument dans la Spree. Il représente trois personnes.
Nous apprendrons lors de nos recherches en vue de la rédaction de ce texte qu’il s’agit d’une sculpture réalisée par Jonathan Borofsky et inaugurée en 1999. « Molecule Man », c’est son titre, est une série de sculptures monumentales, pesant 45 tonnes et hautes de 30 mètres, installées sur la Spree à Berlin. Les trois personnages symbolisent la rencontre des trois quartiers de Treptow, Kreuzberg et Friedrichshain!
Photo ci-dessus : Une superbe sculpture dans la Spree… Molecule Man. (Photo provenant de l’encyclopédie Wikipédia)
East Side Gallery
Nous arrivons devant la East Side Gallery. Il est midi, le trajet a été plus long que prévu. Gabor immobilise son véhicule devant le « Mercedez Benz Arena ». Nous descendons.
C’est très nuageux, c’est venteux et il fait froid !
Photo ci-dessus : La Mercedes-Benz Arena est une salle omnisports située dans le quartier berlinois de Friedrichshain. Elle est principalement utilisée pour le hockey sur glace, le basket-ball et les concerts. L’édifice a été inauguré le 10 septembre 2008.
À notre descente du car, nous sommes accueillis par un magnifique ourson multicolore.
Photo ci-dessus : L’ours de Berlin est le symbole de la ville… et il est normal que nous en croisions un dès nos premiers pas dans la ville. En fait, nous allons en croiser partout au cours de notre séjour… même sur une pochette de disque que nous allons acheter… la trame sonore d’un film ayant remporté, évidemment « l’Ours d’Or » au Festival du film de Berlin.
Comme nous l’avons déjà mentionné, la « East Side Gallery » est le plus long tronçon de l’ancien « Mur de Berlin » qui a été conservé.
Nous marchons devant le mur. C’est très coloré, des dessins très denses. Nous ne restons qu’une quinzaine de minutes. C'est certain, nous y reviendrons la semaine prochaine.
Photos ci-dessus : La partie la mieux conservée du célèbre « Mur de Berlin » que nous avons admiré sur l’East Side Gallery!
Nous remontons dans le car à 12 h 15 et Krystyna nous dresse un bref historique du «Mur» !
« Plus tard au cours de nos visites de Berlin, nous indique-t-elle, nos guides vont largement nous entretenir du Mur… précisons seulement pour le moment qu’à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, en 1945, la ville de Berlin a été séparée en deux villes distinctes, Berlin Est et Berlin Ouest. »
« Dans les faits, Berlin a été divisé en quatre, une partie allant à chacun des quatre pays «Alliés» ayant remporté la guerre. Berlin Est a été assigné aux Russes, tandis que Berlin Ouest était sous la protection des Américains, des Français et des Britanniques. »
« Assez rapidement, la population a commencé à déserter Berlin Est au profit de Berlin Ouest et de l’Allemagne fédérale. Pour mettre fin à cette situation dans la nuit du 12 au 13 août 1961, l’armée de la RDA a entamé la construction d’un mur autour de Berlin Ouest. »
« Le mur, qui était haut de 3,6 mètres, était surmonté de fils barbelés. On construisit également plus de 300 tours d’observation et des milliers de soldats accompagnés de quelque 600 chiens en assumaient la surveillance. »
« Tout cela dura plus de 27 ans ! En fait, jusqu’au 9 novembre 1989, jour où Günter Schabowski fit sa célèbre annonce ! »
Ce qui nous surprend, avouons notre ignorance, est que le « Mur » a été érigé autour de Berlin Ouest, alors que nous avons toujours cru que le « Mur » entourait Berlin Est… pour empêcher les citoyens de la République démocratique allemande (RDA) de sortir ! Une très mauvaise compréhension de notre part de la situation géographie des deux Berlins.
Photo ci-dessus : Berlin Ouest est en effet une toute petite partie de territoire enclavé au cœur de la RDA, comme le démontre cette carte… Berlin Ouest est la petite partie de couleur beige. Le rouge est la RDA et le bleu la République fédérale d'Allemagne !
Nous roulons en autocar dans Berlin.
Nous apercevons « Karl-Marx Allee », un boulevard de 90 mètres de large construit entre 1952 et 1960. C’est sur cette avenue qu’avaient lieu les défilés à l’époque où Staline présidait aux destinées de l’URSS.
Nous descendons cinq minutes plus tard pour le lunch.
Krystyna nous dirige vers la « Cafereria Cantino », où, dit-elle, « c’est bon, rapide et peu dispendieux ».
Nous n’avons pas beaucoup faim. Nous ne prenons qu’une soupe, excellente d’ailleurs, du pain et de l’eau. (8,50€)
Nous sortons assez rapidement et nous promenons aux alentours.
Nous nous trouvons à l’angle d’Alexander strass et Karl Liebknecht strass. L’ensemble tout autour de nous fait très communiste. Nous croyons qu’il s’agit d’Alexander Platz et nous sommes très déçus, nos lectures nous ayant largement vanté l’endroit.
Nous apprendrons au cours de la prochaine semaine que nous n’étions pas sur Alexander Platz... en fait cette place est située tout juste derrière l’édifice où nous avons dîné ! Lorsque nous la visiterons la semaine prochaine, nous la trouverons splendide et des plus animées.
D’où nous sommes nous voyons l’édifice du journal Berliner Zeitung, le principal quotidien régional berlinois. Devant nous se trouve le Park Inn Hotel, identique à celui où nous étions hébergés lors de notre passage à St Petersbourg.
Photo ci-dessus : Le siège du journal le « Berliner Zeitung ».
Méli-mélo
Berlin est la capitale de l’Allemagne réunifiée.
La ville de Berlin, qui constitue un land à elle seule, est est un des 16 länder de l’Allemagne et elle est entièrement enclavée dans le land de Brandebourg.
La capitale est la plus grande ville d’Allemagne. Elle est habitée par quelque 3,5 millions de Berlinois et Berlinoises.
Berlin a été fondée au XIIIe siècle.
Au fil des ans, pour ne pas dire des siècles, Berlin a été la capitale du royaume de Prusse (1701-1871), de l'Empire allemand (1871-1918), de la République de Weimar (1919-1933) et du Troisième Reich (1933-1945).
Au terme de la Deuxième Guerre mondiale, Berlin a été partagée en quatre secteurs d'occupation. Le secteur soviétique de la ville, nommé Berlin-Est, est alors devenu la capitale de la République démocratique allemande (RDA), tandis que Berlin-Ouest était politiquement rattachée à la République fédérale d'Allemagne.
En 1990, Berlin est devenue la capitale de l'Allemagne réunifiée.
On trouve à Berlin 166 musées, 142 bibliothèques et 60 théâtres.
La ville attire, bon an mal an plus de 11 millions de visiteurs!
À suivre…
Le palais du Reichstag… une visite qui n’était pas au programme de notre périple… une belle surprise de notre accompagnatrice.
Photo ci-dessus : La coupole du Reichstag est d’un diamètre de 40 mètres et haute de 47 mètres. Elle offre une vue à 360 degrés sur la ville de Berlin !
Textes précédents :
Vous pouvez lire les textes précédents de nos reportages sur l'Allemagne en cliquant sur les liens ci-dessous ou en accédant directement à l'onglet "Allemagne" de la rubrique « Voyages » de la barre de menu.
Notre voyage en Allemagne : Trajet proposé par "Voyages Lambert"
1er texte : Willkommen in Köln… Bienvenue à Cologne, sur les berges du Rhin!
2e texte : Cologne: sa cathédrale, ses berges sur le Rhin et ses belles maisons !
3e texte : À Aix-la-Chapelle… sur les traces de Charlemagne!
4e texte : La cathédrale d’Aix-la-Chapelle ou Charlemagne en pièces détachées!
5e texte : La Porta Nigra et le Haupmarkt, la place du Marché!
6e texte : L’imposante cathédrale de Trèves et son cloître!
7e texte : Trèves : l’ancien palais du prince-électeur… et la basilique romaine de Constantin!
8e texte : Trèves, métropole romaine... dont le cœur bat toujours… au Musée de Rhénanie!
9e texte : Bernkastel-Kues… ville aux bellissimes maisons médiévales à colombages !
10e texte : Cochem : fontaines, église aux magnifiques vitraux, une mosaïque, etc.!
11e texte : Coblence… de passage seulement et c’est dommage !
12e texte : De Coblence à Bacharach… au fil du Rhin romantique!
13e texte : Bacharach sublime découverte d'une ville...
14e texte : Heidelberg : le Vieux pont et le Chemin des philosophes… pour commencer !
15e texte : Le château de Heidelberg… et surtout ses impressionnantes ruines !
16e texte : Les jolies places au cœur de la vieille ville de Heidelberg et l’église Saint-Esprit !
17e texte : Bad Wimpfen : une haute tour, une superbe église et de jolies maisons...
18e texte : L’Hôtel Eisenhut de Rothenbourg… Wow !
19e texte : Wurtzbourg : l’imposante forteresse de Marienberg !
20e texte : Le « Maître de Wurtzbourg » : Tilman Riemenschneider !
21e texte : Wurtzbourg : Vieux Pont, centre historique, cathédrale et Résidence! (1re partie)
22e texte : Wurtzbourg : Vieux Pont, centre historique, cathédrale et Résidence! (2e partie)
23e texte : Rothenbourg: l'église Saint-Jacques, des tours médiévales..., etc. !
24e texte : Nuremberg: les ruines d’un centre de congrès nazi, un château… !
25e texte : Nuremberg : l’église Saint-Sébald… et une vue imprenable sur la rivière Pegnitz!
26e texte : Nuremberg: l’église Saint-Laurent, la vieille ville, les saucisses et le procès!
27e texte : Dinkelsbühl : une belle cathédrale, de jolies maisons et une touchante légende !
28e texte : La Fuggerei d’Augsbourg: les plus anciens logements sociaux au monde!
29e texte : Augsbourg : La cathédrale Notre-Dame, les chefs-d’œuvre d’Holbein l’Ancien!
30e texte : Augsbourg : L’hôtel de ville et sa superbe salle dorée!
31e texte : Le château de Neuschwanstein… dans la purée de pois!
32e texte : De petit pavillon de chasse..., Linderhof est devenu un véritable château!
33e texte : Fresques des maisons d’Oberammergau... château à Munich: Nymphembourg!
34e texte : Munich : la magnifique porte Isartor, l’Hôtel Torbrau, la rue Tal et ses alentours!
35e texte : Munich : tour de ville en autocar et arrêt au magnifique siège social de BMW !
36e texte : Munich : promenade dans la vieille ville (1re partie)!
37e texte : Munich : promenade dans la vieille ville (2e partie)!
38e texte : Brueghel, Cranach, Durër, mais aussi Raphaël, Vinci... à l’Alte Pinakothek
39e texte : Ratisbonne : rôtisserie de saucisses, vieux pont sur le Danube et ruines romaines
40e texte : Le vieil Hôtel de Ville... la Haidplatz et les petites ruelles de Ratisbonne!
41e texte : Ratisbonne : la cathédrale Saint-Pierre… et ses trésors de statues de pierre !
42e texte : De la rivière Regnitz… des vues imprenables sur Bamberg...! (1re partie)
43e texte : De la rivière Regnitz… des vues imprenables sur Bamberg...! (2e partie)
44e texte : Bamberg : colline de l’Évêque, cathédrale et résidence de l’homme d’Église!
45e texte : L’église des 14 Saints intercesseurs… pour ceux qui aiment le style baroque!
46e texte : Wartbourg : de superbes mosaïques et le lieu de travail de Martin Luther!
47e texte : Erfurt : la superbe Domplatz dominée par une cathédrale et une église !
48e texte : Erfurt: une vieille synagogue, un pont habité, des maisons... (1e partie)
49e texte : Erfurt: une vieille synagogue, un pont habité, des maisons... (2e partie)
50e texte : Weimar: places de la Démocratie, du Marché, Hôtel de Ville, Goethe (1e partie)!
51e texte : Weimar: places de la Démocratie, du Marché, Hôtel de Ville, Goethe (2e partie)!
52e texte : Weimar : un tout petit musée pour un très grand mouvement, celui du Bauhaus
53e texte : Wow ! La manufacture nationale de porcelaine Meißen
54e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (1re partie)
55e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (2e partie)
56e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (3e partie)
57e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (4e partie)
58e texte : Dresde… la « Florence allemande »! (5e partie)
Bibliographie
Aachen, Aix-la-Chapelle, guide de la ville et de la cathédrale,, Édition Michael Imhof Verlag, 2011, 31 pages;
Allemagne, Guide Vert, Michelin guides touristiques, 2015, 690 pages;
Allemagne, faits et réalités,, Societäts Verlag, 2010, 192 pages;
Allemagne, des villes vivantes, Office national allemand du tourisme, 2010, 198 pages;
Atlas en fiches,, Éditions Atlas, 2008;
Le Bundestag dans les faits, Services des relations publiques du Bundestag allemand, 2014, 56 pages ;
Cartoville - Berlin, Guides Gallimard, 12e édition ;
Encyclopédie libre Wikipédia Allemagne, Cologne, Aix-la-Chapelle, Trèves et plusieurs autres pages;
La cathédrale de Bamberg, trésor de foi , Publication de l’Archevêché de Bamberg, 2015, 30 pages;
LonelyPlanet - Berlin , Publication LonelyPlanet, 2013, 352 pages;
Patrimoine mondial de l'UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages;
Trèves, à la découverte de la plus vieille ville d’Allemagne, Rahmel-Verlag, 48 pages.
Aucun trackbacks pour l'instant