14
Nov/16
0

Benoit Rioux récompensé

Le journaliste de l’Agence QMI a reçu le prix Jacques Doucet samedi

Revue de presse

Raphaêl Bergeron-Gosselin, Le Journal de Montréal, le 14 novembre 2016

Jacques Doucet et Benoît Rioux

Benoit Rioux, journaliste pour l’Agence QMI, a vécu l’un de ces moments samedi lorsqu’il a reçu le prix Jacques Doucet, soulignant la visibilité accordée au baseball québécois.

C’est dans le cadre du Banquet du Temple de la renommée du baseball québécois RDS que monsieur Rioux a reçu cet honneur.

Photo ci-dessus : Benoit Rioux a reçu le prix Jacques Doucet samedi, un prix soulignant la visibilité accordée au baseball québécois.

Il y a des moments précis dans une carrière professionnelle qui peuvent marquer un individu pour le restant de sa vie.

«C’est très plaisant d’obtenir un tel honneur, mais il s’agit d’un véritable privilège de recevoir le prix des mains de monsieur Doucet en personne. Ce moment restera gravé dans ma mémoire à jamais», a expliqué celui qui a reçu le prix à l’hôtel Delta de Sherbrooke, où la soirée était présentée.

«Lorsqu’il m’a donné le prix, il m’a dit dans l’oreille que je le méritais et que je ne l’avais pas volé.»

En plus du travail journalistique, l’implication auprès du baseball amateur est prise en compte lorsque vient le temps de choisir un vainqueur. Cet été, le lauréat de 2016 s’est impliqué dans le cadre de la Finale des Jeux du Québec présentée à Montréal. Il a agi comme directeur de site au parc Henri-Julien où se déroulaient certains matchs de baseball.

«Même si on ne pratique pas ce métier pour la reconnaissance, ça fait du bien de savoir que notre travail est apprécié. C’est une immense vague d’amour de mes proches et des gens du milieu qui m’ont tous dit que cet honneur était mérité», a avoué le journaliste originaire de Trois-Pistoles.

Des histoires uniques
Le passionné de baseball a couvert l’actualité sportive toute l’année, mais certaines histoires qui peuvent sembler anodines sont, selon lui, les plus beaux récits.

«Ce que je préfère, c’est de sortir des histoires que les gens ne connaissent pas. Cette année, j’ai écrit un texte sur la manière dont Abraham Toro a appris qu’il était un frappeur ambidextre. À la fin de leurs entraînements, les joueurs s’amusaient à frapper de leur mauvais côté et les gagnants n’avaient pas besoin de ramasser l’équipement. C’est de cette manière qu’il a découvert qu’il avait un talent caché. J’aime écrire des histoires comme celle-là», a expliqué le passionné de baseball.

Un gros merci aux joueurs
Très humble, monsieur Rioux n’a pas oublié de remercier les athlètes qui lui permettent de vivre de sa passion.

«Le mérite leur revient, car sans eux, je ne pourrais pas écrire sur le baseball. Je les remercie et je leur souhaite du succès.»

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.

Remplis sous: Baseball et softball Mots clés:
Commentaires (0) Trackbacks (0)

Aucun commentaire pour l'instant

Laisser un commentaire


Aucun trackbacks pour l'instant