Les mots du jour : IDO, Internet des objets

Textes et recherches de Jacques Lanciault

Je consigne ici le fruit de recherches sur le sens, l’étymologie, l’écriture ou encore la prononciation de certains mots ou expressions sur lesquels je bute, ou qui tout simplement suscitent ma curiosité au fil de mes lectures…

Mardi, 27 octobre 2020

Source de la recherche
La question du jour pour le 24 septembre de mon Agenda du français pratique 2020.

L’abréviation IDO est :

a) L’acronyme du terme Internet des objets.
b) Le symbole de la roupie indonésienne.

Réponse : a) L’acronyme du terme Internet des objets

Définition
Le corrigé commenté de l’Agenda du français pratique 2020 précise : « L’abréviation IDO est l’acronyme du terme Internet des objets. Ce néologisme désigne l’ensemble des objets connectés ainsi que les réseaux qui leur sont associés dans le but de collecter, de transmettre et des traiter des données. »

L’encyclopédie libre Wikipédia propose, quant à elle, la définition suivante :

« L’Internet des objets ou IdO est l’interconnexion entre l’Internet et des objets, des lieux et des environnements physiques.

L’appellation désigne un nombre croissant d’objets connectés à l’Internet permettant ainsi une communication entre nos biens dits physiques et leurs existences numériques. Ces formes de connexions permettent de rassembler de nouvelles masses de données sur le réseau et donc, de nouvelles connaissances et formes de savoirs.

Considéré comme la troisième évolution de l’Internet, baptisé Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets, mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l’ère du Web social, l’Internet des objets revêt un caractère universel pour désigner des objets connectés aux usages variés, dans le domaine de la e-santé, de la domotique ou du quantified self.

L’Internet des objets est en partie responsable d’un accroissement exponentiel du volume de données généré sur le réseau, à l’origine du big data (ou mégadonnées en français). La croissance exponentielle du nombre d’objets connectés dans la première moitié des années 2020 risque d’avoir un impact durable sur l’environnement. »