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Des Manet, des Cézanne, des Van Gogh, des Gauguin… et bien d’autres à la Galerie Courtauld!
Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault
Voici le 20e d’une série de reportages sur un captivant périple qui nous a permis de revoir la ville de Londres et de naviguer de Southampton à La Coruña, découvrant au passage Bruges, le mont Saint-Michel, Saint-Malo, Lorient, La Rochelle, Bordeaux et Bilbao. Une magnifique odyssée réalisée à la toute fin de l’été 2024.
Londres, Royaume-Uni, dimanche le 8 septembre 2024 - Finalement, au terme d’un trajet des plus intéressant sur le Victoria Embankment, nous entrons à la Courtauld Gallery, un musée qui compte sur une collection de peintures impressionnistes et postimpressionnistes particulièrement remarquable!
La collection permanente comprend des peintures, des dessins, des gravures, des sculptures et des arts décoratifs allant de la Renaissance au XXe siècle!
Nous y verrons des œuvres de nombre d’artistes que nous adorons comme Édouard Manet, Vincent Van Gogh, Paul Cézanne, Edgar Degas, Paul Gauguin, Auguste Renoir et bien d’autres!
Au chapitre des tableaux de la période allant de la Renaissance au XVIIIe siècle, nous pourrons admirer, entre autres, « Adam et Ève » de Lucas Cranach l’Ancien, « La Famille de Jan Bruegel l’Ancien » et « La Descente de Croix » de Peter Paul Rubens et le magnifique retable de « La Trinité avec les saints » de Sandro Botticelli!
Voici les photos des œuvres qui nous ont le plus émus :
Photo ci-dessus : « Autoportrait avec l’oreille bandée », une toile magnifique de Vincent Van Gogh (1853-1890). L’artiste néerlandais l’a peinte en janvier 1889, une semaine après avoir quitté l’hôpital. Il y avait reçu un traitement après s’être coupé la majeure partie de l’oreille gauche (ici représentée par l’oreille droite bandée, parce qu’il s’était peint dans un miroir)!
Nous traversons la grande cour intérieure de la Somerset House et entrons dans la Courtauld Gallery. Nous payons 12 £ chacun… le prix du week-end, en semaine les droits d’entrée sont de 10 £ par personne.
Nous montons un superbe escalier sous une coupole pour amorcer nos visites au troisième étage.
Photos ci-dessus : Cet impressionnant escalier a été conçu par l’architecte suédo-britannique William Chambers (1723-1796), qui travaillant dans un site étroit, a réalisé un escalier spectaculaire en spirale.
Photos ci-dessus : La peintre britannique Cecily Brown (1959- ) a réalisé cette œuvre pour le panneau courbé en haut de l’escalier historique de la Galerie Courtauld. L’œuvre titrée « Détachée de son reflet » a été dévoilée pour marquer la réouverture de la Galerie Courtauld en novembre 2021 et sera exposée pendant quatre ans.
L’affichette expliquant le panneau mentionne ceci : « Dans un monde d’artistes à prédominance masculine regardant le nu féminin, elle a décidé de faire du corps masculin son thème central. L’œuvre de Brown enveloppe le spectateur dans un paysage de rêve de la peinture, oscillant entre l’abstraction et la figuration. »
Nous pénétrons dans une grande pièce où sont exposées des œuvres de peintres impressionnistes et XXe siècle. Il s’agit de la « Galerie Weston » où sont exposés 9 tableaux, dont celui du peintre français Édouard Mannet (1832-1883) intitulé « Étude pour le “Déjeuner sur l’herbe”. »
Photo ci-dessus : Cette œuvre a été réalisée vers 1863 en préparation de l’un des tableaux les plus célèbres du XIXe siècle. En cette année 1863, Édouard Manet scandalisa le monde de l’art avec sa grande version achevée de cette composition (que l’on peut admirer aujourd’hui au musée d’Orsay, à Paris).
L’affichette du musée précise « que cette toile était choquante en raison de sa représentation grandeur nature de deux femmes presque nues aux côtés d’hommes entièrement habillés en tenue contemporaine.
Bien que Manet s’inspire initialement des nus de la Renaissance, il rejette le voile de la mythologie et peint des figures féminines non idéalisées, dont l’une confronte le spectateur avec son regard direct.
Comme dans la plupart des croquis, certaines zones sont délimitées de manière vague, d’autres plus entièrement peintes. Manet a accordé une attention particulière au tronc de l’arbre à gauche et à la veste noire du personnage masculin allongé.
L’esquisse a probablement été peinte comme aide à la création de la grande toile, dont la réalisation a pris plus d’un an. »
Photo ci-dessus : « Deauville 1893 » est une toile du Français Eugène Boudin (1824-1898). L’affichette nous indique que les personnages de cette scène - des baigneurs et des pêcheurs locaux avec leur charrette tirée par des chevaux - sont capturés par de rapides coups de peinture. Le sujet principal de la toile est le ciel et l’effet de la lumière sur les nuages qui ondulent!
Photo ci-dessus : Un bronze d’Edgar Degas (1834-1917) intitulé « Danseuse regardant la plante de son pied droit ».
Photo ci-dessus : « Femme attachant ses chaussures », une toile de 1918, est l’un des derniers tableaux que Pierre-Auguste Renoir (1841-1919) a peints avant sa mort l’année suivante.
Photos ci-dessus : Le peintre américain James McNeill Whistler (1834-1903) a titré son œuvre « Jeune femme avec un cerisier en fleur », une toile qu’il a réalisée vers 1867-1872. « L’enthousiasme de Whistler pour l’art japonais est apparent dans la surface plane et décorative et la présence d’une branche de cerisier en fleur », souligne le texte de l’affichette.
Puis nous passons à une autre salle, plus grande avec plus d’œuvres, dont « Les joueurs de cartes » de Paul Cézanne (1839-1906).
Photo ci-dessus : « Jane Avril dans l’Entrée du Moulin Rouge », un tableau d’Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901).
L’affichette nous précise que « Toulouse-Lautrec a peint Avril à de nombreuses reprises, mais cette œuvre se distingue des autres par son côté sobre. Elle n’est pas sur scène, mais elle arrive au cabaret, emmitouflée dans un manteau à col de fourrure. Une calèche est visible à l’arrière-plan. Le format étroit inhabituel du tableau accentue le visage long et la silhouette émaciée d’Avril. »
Photo ci-dessus : Une œuvre phare de la Galerie Courtauld, « Les joueurs de cartes », une toile réalisée entre 1892 et 1896 par Cézanne.
Le commentaire du musée sur cette toile est le suivant : « Paul Cézanne a passé plusieurs années à dessiner et à peindre des ouvriers agricoles de la propriété rurale où il vivait près d’Aix-en-Provence, dans le sud de la France.
Ce tableau est l’un des cinq qu’il a réalisés représentant certains de ces hommes jouant aux cartes.
Le sentiment général qui se dégage de ce tableau est celui du calme et de la concentration, avec les hommes complètement absorbés par leur jeu.
Avant Cézanne, les artistes et illustrateurs représentaient souvent le jeu de cartes comme une activité tapageuse dans les tavernes où le vin et la bière coulaient à flots. Ce tableau offre une vision différente : les ouvriers de Cézanne sont monumentaux et dignes! »
Photo ci-dessus : « Les meules de foin », une toile de 1889 de Paul Gauguin (1848-1903). L’artiste français a réduit les paysannes qui ratissent le foin aux formes de base de leur costume régional noir et blanc, présentant leurs actions comme un rituel intemporel
Photos ci-dessus : Une toile réalisée en 1882 par Édouard Manet et intitulée « Un bar aux Folies-Bergère ». Elle est exposée ici en tant qu’œuvre célèbre de Manet, car elle est la dernière grande toile du peintre français. Elle a été achevée un an avant sa mort.
Photo ci-dessus : Un autre très beau tableau réalisé par Édouard Manet. L’œuvre est titrée « Les bords de Seine à Argenteuil » et elle date de 1874. « La toile a été créée au cours d’un séjour d’été avec Claude Monet dans la ville d’Argenteuil, près de Paris. L’épouse de Monet, Camille, et son fils, Jean, ont posé pour les personnages. De l’autre côté de la rivière se trouvent des barges pour laver le linge », mentionne l’affichette du musée.
Photo ci-dessus : Un tableau de 1889 de Vincent Van Gogh intitulé « Pêchers en fleurs ». « L’artiste, précise l’affichette, a capturé cette vue d’une plaine ouverte à l’extérieur d’Arles. Il écrit à son frère que les fleurs et la montagne enneigée au loin lui rappellent les cerisiers et le mont Fuji dans les estampes japonaises qu’il collectionne et qu’il admirait beaucoup ».
Photo ci-dessus : « Homme à la pipe », un portrait peint par Paul Cézanne entre 1892 et 1896. « L’homme, un ouvrier agricole du domaine familial de l’artiste, est représenté comme une figure stoïque, son visage vieilli par le temps suggère une vie de travail passée en plein air », nous renseigne le musée.
Photo ci-dessus : Un buste en marbre intitulé « Portrait de Mette Gauguin », l’épouse danoise de Paul Gauguin. Ce buste est l’une des deux seules sculptures en marbre qu’ait réalisé Gauguin.
Photo ci-dessus : Une peinture d’un artiste que nous ne connaissions pas, Ivon Hitchens (1893-1979). L’artiste britannique a titré sa toile réalisée en 1943 « Vue du balcon, église d’Iping ».
L’affichette du musée concernant cette toile nous apprend « qu’après que sa maison de Londres ait été bombardée pendant le Blitz en 1940, Ivon Hitchens s’est installé dans le West Sussex où il a peint cette vue en direction de l’église d’Iping depuis le balcon d’une maison. La porte ouverte divise le tableau verticalement; d’un côté, le ciel est sombre et menaçant, tandis que la scène aux couleurs vives derrière la porte vitrée offre une ambiance tout en contraste. »
Photo ci-dessus : « Cyclamen », une peinture de 1936 de l’artiste anglais William Nicholson (1872-1949).
Photo ci-dessus : « Zahara », une toile de 1954 de David Bomberg (1890-1957). « Au cours de ses dernières années, le peintre britannique David Bomberg s’est immergé dans la peinture des paysages du sud de l’Espagne. Il a créé un groupe éblouissant de peintures expressives, comme cette œuvre - une vue spectaculaire de la ville de montagne de Zahara », souligne l’affichette.
Photo ci-dessus : Roger Fry (1866-1934) a peint le portrait de l’artiste Nina Hamnett en 1917… « Fry a mis en valeur la coupe de cheveux nette et courte de Hamnett et ses vêtements de travail simples, des caractéristiques qui l’auraient marquée comme une femme étonnamment moderne aux yeux de spectateurs de son époque. »
Photo ci-dessus : « Femme assise, Ka Cox », une œuvre de 1912 de Duncan Grant (1885-1978).
Photo ci-dessus : Un petit coin superbe de la Galerie Courtauld!
Photo ci-dessus : Un superbe puits de lumière se dresse au-dessus de nos têtes lorsque nous passons du troisième au deuxième étage.
Nous entrons maintenant dans les salles Blavatnik Fine Rooms qui sont une suite de six galeries s’étendant sur tout le deuxième étage du bâtiment.
« Elles présentent certaines des œuvres les plus importantes et les plus appréciées de la collection du Courtauld de la Renaissance au XVIIIe siècle.
Ces salles sont consacrées à la “Renaissance italienne”, à la “Renaissance du Nord” ainsi qu’à “l’Europe des XVIIe et XVIIIe siècles”, » peut-on lire sur le site Internet du Musée.
Photos ci-dessus : Un tableau qui a été réalisé pour prendre place au sommet d’un grand retable. Il s’agit d’une œuvre de Lorenzo Monaco (vers 1370-1422/24) intitulé « Le Couronnement de la Vierge ».
Photo ci-dessus : Une magnifique « Vierge à l’Enfant » en marbre, une œuvre réalisée vers 1470 par Gregorio di Lorenzo (vers 1436-1504).
Photo ci-dessus : Une des pièces maîtresses de la collection présentée au deuxième étage de la Galerie Courtauld est « La Trinité avec les saints Marie-Madeleine et Jean-Baptiste », une œuvre de Sandro Botticelli (vers 1445-1510).
L’affichette décrit avec grande précision l’œuvre : « Ce retable est l’un des plus importants tableaux de Botticelli au Royaume-Uni.
La vision de la Trinité domine l’œuvre : Dieu le Père tient la croix portant son fils crucifié, tandis que la colombe du Saint-Esprit plane entre eux.
L’œuvre a longtemps été liée au couvent de Sant'Elisabetta delle Convertite à Florence, une maison de religieuses qui accueillaient les prostituées repenties. Ceci explique la présence de Jean-Baptiste, patron de Florence, et de Marie Madeleine, patronne du couvent.
Les deux petites figures au premier plan sont tirées de l’Ancien Testament : guidé par l’archange Raphaël, Tobie trouve un poisson aux propriétés curatives capable de guérir la cécité de son père! »
Photo ci-dessus : Un carreau de sol en faïence émaillée à l’étain affichant un soleil radieux, l’emblème des Gonzaga! Une œuvre provenant probablement de l’atelier de Antonio dei Fedeli et datant de 1493 ou 1494.
Photo ci-dessus : Une peinture à l’huile sur bois réalisée en 1526 par le peintre allemand Lucas Cranach l’Ancien (1472-1553) et titrée « Adam et Ève »… qui sont représentés au moment fatidique où ils désobéissent à Dieu!
Photo ci-dessus : Une autre peinture à l’huile sur bois montrant une « Vierge à l’Enfant avec des anges ». L’œuvre aurait été réalisée entre 1500 et 1509 et est du peintre flamand Quinten Massys (1466-1530).
Photo ci-dessus : Un triptyque datant de 1535 titré « L’Adoration des bergers », une œuvre d’un artiste inconnu.
Nous entrons dans une salle consacrée à la célèbre collection d’œuvres de Peter Paul Rubens (1577-1640) de la Galerie Courtauld, une collection qui est également un élément important des expositions.
Photo ci-dessus : « La mise au tombeau du Christ », une œuvre de 1615-1616 de Rubens. « Cette esquisse à l’huile inhabituellement grande, nous apprend l’affichette, a probablement été réalisée en préparation d’un retable qui n’a jamais été achevé. Caractérisée par un éclairage dramatique, elle représente un groupe de personnes en deuil qui luttent pour descendre le corps inerte du Christ dans son tombeau. »
Photo ci-dessus : Une autre œuvre de Rubens, « La mort d’Achille » qui a été peinte par l’artiste flamand entre 1630 et 1635.
Photos ci-dessus : Deux toiles de 1620 de Rubens, « Salomon recevant la reine de Saba » et « Esther devant Assuérus ». « Ces esquisses peintes librement ont été créées par Pierre Paul Rubens en préparation de deux peintures de plafond, ce qui explique la vue d’en bas », précise l’affichette.
Photo ci-dessus : « La générosité de Jacques… Triompher de l’avarice », une toile qui montre une femme qui tient une corne d’abondance remplie de fruits et de pièces de monnaie, qui célèbre la générosité de Jacques Ier, et la prospérité de la dynastie Stuart.
Photo ci-dessus : : Rubens a peint, vers 1613-1615, un portrait de « La famille de Jan Brueghel l’Ancien », son ami. « L’épouse de Brueghel, Catharina, est au cœur de ce groupe intime, entourée de ses enfants Pieter et Elisabeth. »
Photo ci-dessus : L’artiste italien Domenico Fetti (1589-1624) a peint entre 1618 et 1620 ce tableau intitulé « Adam et Ève au travail ».
L’affichette nous apprend que : « La Bible raconte qu’Adam et Ève ont dû apprendre à survivre seuls après avoir été bannis du jardin d’Éden. Ici, Ève file du fil pour fabriquer des vêtements tandis qu’Adam cultive la terre pour se nourrir. Leurs enfants, Caïn et Abel, les accompagnent! »
Photo ci-dessus : Une toile du peintre anglais Joshua Reynolds (1723-1792) réalisée vers 1789 titrée « Cupidon et Psyché ».
Photo ci-dessus : Le portraitiste anglais Tilly Kettle (1735-1786) a peint le portrait de Daniel Lysons vers 1762-1768. « Lysons porte la robe d’un docteur en droit civil, un diplôme qu’il a obtenu de l’Université d’Oxford en 1759. »
Photo ci-dessus : Un portrait de Georgiana, Lady Greville, réalisé par le peintre britannique George Romney (1734-1802) vers 1771-1772. « George Romney a peint ce portrait à l’époque où Georgiana Peachey a épousé le politicien Lord Greville. Il s’agissait de la première commande aristocratique de l’artiste. »
À l’entrée de chacune des salles où nous avons pénétré, il y a une affiche expliquant à quoi servait cette pièce autrefois, c’est-à-dire avant que l’endroit ne devienne un musée.
Nous descendons au premier étage où l’on retrouve des œuvres d’art datant du moyen-âge et du début de la Renaissance.
Photo ci-dessus : Vers 1320, le peintre italien Ugolino di Nerio (vers 1280-1349) a intitulé cette peinture sur bois « Crucifixion »
Photo ci-dessus : Des parties d’un retable démantelé… attribuées à « Maître de la Pietà Fogg », le nom de convention d’un peintre anonyme italien.
Photo ci-dessus : Un coffret de mariage décoré de scènes romantiques en ivoire. Une œuvre provenant probablement de l’atelier Embriachi de Venise. Les experts croient que le coffret date des années 1400 à 1430.
Photos ci-dessus : Trois panneaux représentant des figures saintes dans de petits cadres ronds, des œuvres du religieux italien Fra Angelico (né entre 1387 et 1395 et mort en 1455).
Au premier étage, nous entrons dans la « Galerie de dessins Gilbert et Ildiko Butler ». Il s’y tient une exposition temporaire intitulée « Henry Moore : Shadows on the Wall ».
Une affiche explique que « pendant le Blitz, de septembre 1940 à mai 1941, des foules de gens cherchèrent refuge dans les stations de métro de Londres pour échapper aux bombardements nocturnes de l’armée de l’air allemande.
Ému par ce qu’il vit là-bas et dans d’autres abris de fortune, le sculpteur Henry Moore (1898–1986) documenta ces scènes dans des centaines de croquis obsédants connus sous le nom de “Shelter Drawings”. »
Nous sortons à 12 h 15, heureux de notre visite. Il s’agit d’un musée très intéressant, mais un peu dispendieux.
Les salles d’exposition sont vastes, il y a beaucoup d’espace pour circuler, alors qu’il y avait très peu de visiteurs lors de notre visite. Les œuvres sont superbement bien mises en valeur.
Nous sortons… et constatons qu’il a plu! Pour sortir, nous utilisons l’entrée principale, alors que nous étions entrés ce matin par une porte de service!
À suivre…
Poursuite de notre promenade sur la rive droite de la Tamise. Puis nous traversons sur la rive sud en empruntant le Southwark Bridge pour entrer au Tate Modern!
Photo ci-dessus : Les portait de Marie Laurencin, de Cecilia de Madrazo et du chien Coco, une toile de 1915 de l’artiste française Marie Laurencin (1885-1956). Ce tableau présente Cecilia, la fille du peintre espagnol Federico de Madrazo, et l’artiste Marie Laurencin elle-même, présentée à gauche.
Pour lire les autres textes de notre périple ainsi que ceux de notre autre voyage au Royaume-Uni, cliquez sur ce lien : Londres... le la Grande-Bretagne!
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