Août/160
Élisabeth Louise Vigée Le Brun au Musée des beaux-arts du Canada : superbe!
Texte, recherche et photos de Jacques Lanciault
Laval, Québec, le 12 août 2016 – Des œuvres de la portraitiste de la reine Marie-Antoinette, Élisabeth Louise Vigée Lebrun, nous en avons admirées à Paris, à Avignon, à Berlin, à New York, à Philadelphie, à Fort Lauderdale, à Buenos Aires et certainement ailleurs dans le monde aussi ! Alors, que le Musée des beaux-arts du Canada lui rend hommage cet été en présentant une rétrospective de son œuvre, c’était une évidence que nous nous rendrions dans la capitale nationale pour découvrir cette exposition !
Photo ci-dessus : Portrait d'une jeune femme datant de 1797... dont on ignore encore aujourd'hui l'identité!
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Août/160
Pompéi et Toulouse-Lautrec s’affichent au Musée des Beaux-arts de Montréal!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Laval, Québec, le 3 août 2016 - Les expositions en cours au Musée des beaux-arts de Montréal, « Toulouse-Lautrec affiche la belle époque » et « Pompeii : une ville romaine »... nous ont laissés sur notre appétit! Est-ce parce que nous avons visité le site de la cité ensevelie de Pompéi, le musée national d'archéologie de Naples et le musée Toulouse-Lautrec d'Albi. Probablement, car les deux expositions sont intéressantes et présentent de superbes oeuvres, c’est certain, mais avouons que pour nous, il y avait fort peu d'oeuvres inédites.
Photo ci-dessus : Cette superbe statue de bronze, une jeune femme agrafant son péplos, est une des cinq statues retrouvées au XVIIIe siècle dans la « Villa dei Papiri » à Herculanum.
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Déc/150
Portraits de femmes et autres
Texte et photos de Jacques Lanciault
Laval, Québec, samedi 26 décembre 2015 – L‘exposition principale du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) en cours actuellement s’intitule «Une modernité des années 1920, le Groupe de Beaver Hall», mais elle offre une telle quantité de tableaux représentant des femmes, que personnellement, je l’aurais titrée «Portraits de femmes et autres». Mais, ce qui est vraiment plus important qu’un titre, est qu’elle offre une superbe rencontre avec un groupe d’artistes québécois certainement peu connus de l’amateur d’art de chez nous! Dans notre cas, aucun de ces maîtres de la couleur ne nous étaient connus!
En fait, il s’agit d’une première exposition consacrée au « Groupe de Beaver Hall », un groupe d’artistes qui durant une très courte période (1920-1923) ont donné une vitalité nouvelle à la vie artistique montréalaise, québécoise et aussi canadienne, entraînant dans leur sillage l’émergence de nombreux nouveaux artistes, des peintres qui, bien que n’étant pas membre du groupe, sont présents à cette exposition.
Parmi les œuvres qui nous ont le plus émus, celles de Randolf S. Hewton, Lilias Torrance Newton, André Biélier, Prudence Heward, Anne Savage, Sarah Robertson, Regina Seiden, Edwin Holgate et Emily Coonan resteront pour longtemps graver dans nos mémoires par la vitalité de leur coup de pinceau, par le réalisme qu’elles évoquent et par leurs couleurs vives et chatoyantes!
Photo ci-dessus : Cette toile, intitulée « Portrait de Marcelle » une œuvre de Lilias Torrance Newton, même si elle n’est pas la figure de proue de l’exposition est celle qui m’a le plus séduit. Est-ce la beauté du modèle, Marcelle Paré, une enseignante de français, son regard ou encore la composition et l’agencement des couleurs qui m’a ému, je ne saurais dire, probablement un peu de tout!
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Sep/150
Le Musée des beaux arts de Montréal… un ensemble architectural tellement beau!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Montréal, Québec, mardi 30 juin 2015 – Chacune des expositions qui se tiennent au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) est une occasion en or d’admirer non seulement les merveilleuses œuvres d’art proposées par les concepteurs de l’exposition, mais également de s’émerveiller sur le site enchanteur du Musée pourtant situé au cœur de la métropole.
Outre les quatre pavillons que compte le musée, de nombreuses œuvres sont installées à l’extérieur et je ne puis m’empêcher, à chacune de mes visites, d’en photographier quelques-unes.
Photo ci-dessus : La magnifique statue de l’artiste originaire de Montréal David Altmedj, toute en bronze et haute de 13 pieds, intitulée « L’œil », prend place devant le nouveau pavillon Bourgie du MBAM depuis 2011. Elle a été commandée à l’artiste justement pour commémorer l’inauguration de la salle de concert Bourgie. Dans son guide du 150e anniversaire, le MBAM la décrit en mentionnant « Cette créature hybride évoquant « Le David » de Michael Ange…
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Sep/150
Spectaculaire l’exposition « Métamorphoses… dans le secret de l’atelier de Rodin » du MBAM!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Montréal, Québec, mardi 30 juin 2015 – Nous sommes devenus au fil des ans et de nos voyages des familiers des œuvres d’Auguste Rodin. Nous avons visité les musées qui lui sont consacrés tant à l’Hôtel Biron à Paris qu’à Philadelphie, ce dernier tout récemment d’ailleurs. Donc, nous n’étions pas en territoire inconnu lorsque nous nous sommes rendus au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) pour nous délecter de l’exposition « Métamorphoses… dans le secret de l’atelier de Rodin ».
Contrairement à nos autres rencontres avec les œuvres de Rodin, celle du MBAM nous offre un beau mélange de sculptures en bronze, en marbre et en plâtre… nous permettant de vraiment constater le travail expérimental du sculpteur, ce sur quoi insiste la superbe exposition commencée le 30 mai et qui se termine le 18 octobre 2015.
Voici quelques-unes des œuvres ayant retenu notre attention!
Photo ci-dessus : Évidemment, quand on pense Auguste Rodin difficile de ne pas penser à son « Penseur »! Le voici en « grand modèle »… en plâtre patiné, destiné à la fonte en bronze!
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Mai/150
Le Maroc chérifien et l’Espagne mauresque racontés dans de magnifiques couleurs!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Montréal, Québec, dimanche 5 avril 2015 – Époustouflante cette exposition intitulée « Merveilles et mirages de l’Orientalisme - de l’Espagne au Maroc » qui est présentée au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) jusqu’au 31 mai 2015!
Si déjà nous avions pu admirer quelques œuvres de Benjamin Constant, notamment au Musée d’Orsay à Paris, et de Eugène Delacroix au Caixa Forum de Barcelone où on y présentait justement une exposition sur la période orientaliste du peintre français, jamais nous n’avions eu l’occasion d’admirer autant d’œuvres d’artistes différents qui nous étaient inconnus… et qui ont tous prit comme toile de fond… le soleil, le sable, les corps vêtus et dévêtus des habitants de ces chaudes contrées!
Outre les toiles de Constant et de Delacroix, nous avons eu l’occasion de découvrir les œuvres d’artistes tels Henri Régneault, Jean-André Rixens, Jean-Paul Laurens, George Rochegrosse, Charles Émile Hippolyte Lecompte, Édouard Debat-Ponsan, etc. Et d’artistes contemporaines, dont, entre autres, Lalla Essaydi et Majida Khattari, qui ont réalisé de très beaux montages photographiques!
Voici quelques-unes des toiles ayant retenu notre attention, notamment par l’évocation d’images que nous nous étions faites de cette région du monde, surtout lors de nos lectures des « Contes des mille et une nuits »!
Photo ci-dessus : Cette superbe toile intitulée « Tête de Maure », réalisée par Benjamin Constant vers 1875 est devenue l’icône de l’exposition « Merveilles et mirages de l’Orientalisme - de l’Espagne au Maroc », elle qui est présentée par le MBAM en collaboration avec le Musée des Augustins de Toulouse!
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.
Jan/150
Le Musée Grévin Montréal : oui, vraiment tout aussi fabuleux que son homologue parisien!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Laval, Québec, le 15 janvier 2015 - En septembre 2013, notre visite du Musée Grévin de Paris nous avait emballés! Il allait donc de soi que nous nous rendions un jour visiter celui de chez nous, situé au 5e niveau du Centre Eaton à Montréal. C’est donc par une journée très froide de janvier (moins 21 degrés Celsius) que nous nous y sommes rendus. Notre visite nous a enchantés, autant, à dire vrai, que celle que nous avions réalisée au musée de la Ville lumière!
Et la visite du Musée Grévin de Montréal est beaucoup moins dispendieuse que celle de l’institution muséale parisienne. Si à Paris, il nous en a coûté plus de 20€ chacun (soit environ 30$ canadien), ici nous n’aurons déboursé que 17$, toutes taxes incluses, ce prix incluant toutefois un rabais à l’achat de billets sur Internet.
Suite à notre visite de Grévin Paris, nous avions écrit : « Le musée est de toute beauté. Les mannequins de cire qui y sont présentés sont d'un incroyable réalisme, et ce, tant en raison de leur ressemblance phénoménale avec les personnalités en chair et en os qu'ils représentent, que par les poses dans lesquelles ils nous regardent ou encore dans les émotions qu'ils transcendent! »
Ce commentaire est tout aussi valable pour le Musée Grévin Montréal. À cela, ajoutons aussi que la mise en scène et les décors imaginés pour chacune des personnalités présentes sont tout à fait fabuleux!
Voici des clichés de quelques-unes des 120 personnalités qui y sont immortalisées.
Photo ci-dessus : Mémorable moment des Jeux olympiques de 1976… les notes parfaites de Nadia Comăneci!
Oct/140
Matisse, Cézanne, Braque, Gauguin, Van Gogh, Van Dogen et bien d’autres!
Textes et photos de Jacques Lanciault
Laval, Québec, le 23 octobre 2014 Les dernières années du XIXe siècle et les premières années du XXe siècle, du moins jusqu’au déclenchement de la Première Guerre mondiale, ont été des plus fertiles pour de nombreux artistes-peintres, notamment pour les artistes français, allemands et néerlandais. Ce sont plusieurs de leurs œuvres datant de cette période que l’on peut admirer actuellement à l’exposition intitulée « De Van Gogh à Kandinsky, l’expressionnisme en Allemagne et en France, 1900-1914 » présentée au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) jusqu’au 25 janvier prochain.
Nous avons beaucoup aimé! Il faut bien admettre que nous sommes en voie d’apprivoiser, petit à petit, l’art moderne! Les œuvres des grands artistes de l’art abstrait n’ont jamais été « notre tasse de thé ». Toutefois, nos dernières visites, tant à Paris, où nous avons grandement apprécié l’exposition Georges Braque au Grand Palais, qu’aux musées Guggenheim et MoMA de New York nous ont, semble-t-il, ouvert de nouveaux horizons.
Ainsi, au Musée de la rue Sherbrooke, nous nous sommes émerveillés devant des œuvres de Gauguin, Matisse, Picasso, Cézanne et Kandinsky… tout comme nous nous sommes encore une fois extasiés devant des toiles de Vincent Van Gogh, notre préféré, surtout depuis nos périples à Arles et à Auvers-sur-Oise.
Évidemment, cette exposition est populaire! Elle attire de nombreux groupes profitant de visites guidées, ce qui peut être très désagréable… surtout lorsqu’un musée admet des visiteurs en véhicules électriques, vous savez comme ceux qui circulent sur les trottoirs et dans les rues de la ville! Les fauteuils roulants, les marchettes et même les fauteuils parapluie, cela m’apparaît tout à fait normal, mais les véhicules électriques aussi longs que des voiturettes de golf, personnellement je trouve cela nettement exagéré.
Voici quelques-unes des œuvres que nous avons immortalisées :
Photo ci-dessus : Une huile sur toile d'Henri Matisse intitulée "Promenade des oliviers", une oeuvre réalisée par l'artiste français en 1905.
Jan/140
Peter Doig : le maître de la couleur !
Texte et photos de Jacques Lanciault
Laval, le 27 janvier 2014 – Une autre superbe exposition vient tout juste de prendre son envol au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM). Cette dernière est intitulée « Nulle terre étrangère » et elle met en vedette les œuvres souvent gigantesques d’un peintre écossais âgé de 54 ans, Peter Doig. Cet artiste d’Écosse, qui a vécu au Québec, habite, depuis 2002, l’île ensoleillée de Trinidad. La grande majorité des toiles présentées au MBAM proviennent d’ailleurs de son travail sur cette île… d’où certainement le faste des couleurs exposées !
Avons-nous aimé l'exposition ? Difficile à dire. Étant plutôt rébarbatifs à l’art abstrait, c’est certain que plusieurs tableaux de l’artiste sont restés incompréhensibles pour nous… toutefois, la virtuosité de Peter Doig à mélanger les couleurs nous a permis de nous extasier à plusieurs reprises.
Voici quelques-unes des toiles ayant retenu notre attention, notamment pour leurs couleurs !
Photo ci-dessus : Une toile phare de l’exposition « Nulle terre étrangère » de Peter Doig, intitulée « Spearfishing », la pêche au harpon, une toile réalisée en 2013 !
Pour agrandir les photos, il suffit de cliquez sur celles-ci.
Déc/120
Loreena McKennitt: la culture en partage
Revue de presse
NDLR : Au printemps 2012, nous avons assisté au spectacle « Once Upon an Ancient Road » de Loreena McKennitt à Barcelone en Espagne. Le texte ci-dessous de Marie-Josée Montminy nous permet de mieux connaitre celle que nous avons chaudement applaudie lors de ce spectacle.
Marie-Josée Montminy, Le Nouvelliste, 29 novembre 2012
L'héritage celte compte certes plusieurs ambassadeurs, mais la chanteuse canadienne Loreena McKennitt en est une de ses plus fidèles et ce, depuis près de 30 ans. Elle sera à Trois-Rivières le 3 décembre pour partager une partie de son vaste répertoire inspiré des influences celtiques et des saveurs de la musique du monde plus élargie.
Photo ci-dessus : L'auteure-compositrice-interprète canadienne Loreena McKennitt sera en spectacle à la salle J.-Antonio-Thompson le lundi 3 décembre.