Juin/180
Croisière en mer Baltique!
Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault
Textes, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault
Laval, Québec, le 17 juin 2018 - Nous voilà de retour au Québec. Wow! Quel voyage! Fantastique, merveilleux, magique, féerique, etc. Les adjectifs nous manquent.
Tout d’abord, découverte d’Amsterdam… la ville des vélos fous! Puis, odyssée sur la mer Baltique avec escale à Copenhague au Danemark, puis à Warnemünde en Allemagne d’où nous filons en train vers la superbe ville médiévale de Rostock.
De nouveau sur notre "Hôtel flottant", nous poursuivons notre croisière jusqu’à Tallinn en Estonie, elle aussi aux allures de ville du Moyen-âge! Et nous poursuivons… Saint-Pétersbourg en Russie, Helsinki, la belle de Finlande, Stockholm la capitale de la Suède, Kiel en Allemagne, dont nous n’avions jamais entendu parler, d’où nous irons fureter du côté d’Hambourg… et notre coup de cœur de cette première partie de notre périple : Aarhus au Danemark.
De retour à Amsterdam où plus de 2 000 nouveaux croisiéristes en remplacent autant qui terminent ici leur voyage, nous repartons cette fois-ci en mer du Nord à la découverte de la côte occidentale de la Norvège… le pays des fjords et des paysages à couper le souffle. Eidfjord, Ålesund, Geiranger et Bergen!
Voici les liens aux pages de nos textes relatifs à la croisière en mer Baltique et la croisière dans les fjords norvégiens, un beau voyage que nous avons réalisé en mai et juin 2018.
Photo ci-dessus : Les magnifiques canaux de la toute petite ville d'Ålesund en Norvège nous offrent des paysages sublimes!
Juin/120
Tourisme Finlande – Ces fins Finnois du design
Revue de presse
Gary Lawrence, Le Devoir, le 9 juin 2012
Après Turin en 2008 et Séoul en 2010, c’est au tour d’Helsinki d’être consacrée capitale mondiale du design cette année. Et pour cause.
À l’intérieur de la kampin kappeli — la chapelle du silence —, nulle dorure, pas d’ostentation superfétatoire, zéro déco. Que de fines lattes de bois incurvées, quelques bancs ultrasimples et un mince anneau de lumière qui coule du ciel, au haut de la structure semi-ovoïde, éclairant le seul « objet ornemental » des lieux : un crucifix épuré.
Inaugurée la semaine dernière au centre du très animé square Narinkka, cette chapelle au dépouillement extrême ne servira pas à y tenir messes et cérémonies. Elle se veut plutôt un lieu de recueillement et de rencontres, mais surtout un sas d’évasion pour se couper du tumulte urbain. Et comme dans tout bon design finnois, sa forme apaisante, rassérénante et tout en courbes suit sa fonction.
Photo ci-dessus : La kampin kappeli, la chapelle du silence. (Photo : Jacques Lanciault, 2018)
Oct/100
48 heures à Helsinki
Revue de presse
Philippe Mercure, La Presse, 12 octobre 2010
D'accord, Helsinki n'est peut-être pas aussi majestueux que ses voisins Stockholm ou Saint-Pétersbourg. Mais la capitale de la Finlande est une ville originale, pleine de charme et remplie d'endroits secrets où organiser un pique-nique ou s'enfiler quelques pintes. Ici, les touristes n'encombrent pas le paysage et les influences russes, scandinaves et internationales s'entremêlent dans une atmosphère unique.
JOUR 1 - 9H - PLACE CENTRALE
Pour s'initier à Helsinki, c'est à la place du Sénat qu'il faut se diriger. Dessiné par l'architecte allemand Engel, qui a aussi travaillé à Saint-Pétersbourg, l'endroit dégage un petit air russe. À l'avant s'élève la spectaculaire cathédrale luthérienne Tuomiokirkko, toute blanche avec ses dômes verts. L'intérieur surprend par sa sobriété. Pour plus d'extravagance, l'autre grande cathédrale de la ville, Uspenski celle-là orthodoxe et située à quelques pas en met plein la vue.
On poursuit en se promenant dans le marché aux poissons, où les pêcheurs vendent leurs prises tirées de la mer Baltique. La place est aussi remplie de marchands qui proposent artisanat, souvenirs et gueuletons. De l'atmosphère à la pelle.
Photo ci-dessus : Une vue impressionnante de la place du Marché, Kauppahalli, elle qui est fermée par une rangée de beaux édifices. (Photo : Jacques Lanciault, mai 2018)