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Jerez de la Frontera : l’art équestre, le doux vin de Xerez, de beaux monuments… et les cigognes!

Textes et photos de Céline et Jacques Lanciault

Jerez de la Frontera, Espagne

Jerez de la Frontera, Espagne, jeudi 29 mai 2014 - Dernière expédition de notre séjour à Séville aujourd'hui. Pour l'occasion, nous nous rendons, en autobus, à Jerez de la Frontera, une ville située à presque 100 km de la capitale de l'Andalousie.

Jerez de la Frontera est mondialement reconnue, entre autres, pour ses chevaux de la « Real Escuela Andaluza », son école royale d'art équestre, et pour son xerez, un vin que nous appelons chez nous « le sherry », mais que nous devrions nommer le xérès!

De la gare d'autobus de Jerez, nous devons marcher 1,3 kilomètre pour arriver au centre historique de la ville. Premier arrêt, la cathédrale San Salvador, une immense église qui n'est plus utilisée pour la célébration du culte, et ce, puisqu'elle a été transformée en musée.

Au terme d'une visite plutôt décevante de la cathédrale, nous nous rendons à l'Alcazar de Jerez, situé tout près de la cathédrale. Autre déception : il est fermé jusqu'au 4 juin, sans que nous réussissions à savoir pourquoi.

C'est donc un peu déçus que nous amorçons notre promenade en direction du site de la « Real Escuela Andaluza del arte ecuestre », là où, à midi, Céline, Carole et Claude pourront assister à un grandiose spectacle des chevaux dressés. Pour ma part, asthme oblige, je me promènerai dans les petites rues avoisinantes en attente de la fin de la représentation!

C'est en écoutant mes compagnons de voyage me raconter la splendeur du spectacle auquel ils ont assisté que nous nous rendons dans les locaux de la firme « Sandeman », pour une visite guidée de leurs caves... et, évidemment, pour une dégustation de leurs différents types de vin de xérès!

Il est plus de 15 heures, encore tout émoustillés par les effluves du xérès, lorsque nous quittons les locaux de la Bodega Sandeman... pour nous trouver un petit resto pour prendre une bouchée!

Le dîner, qui est agréable sous le chaud soleil de Jerez, nous revigore et nous permet de continuer, ou plutôt de reprendre notre promenade dans la vieille ville. La lumière, qui est radieuse à ce point du jour, et les rues désertes, les touristes ayant quitté les lieux et les locaux étant à leur sieste, nous permettent de découvrir, à notre rythme, une ville fort intéressante.

Nous présentons ci-dessous quelques-uns des clichés que nous avons réalisés. Évidemment, des textes détaillés suivront à notre retour au pays :

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Photo ci-dessus : Sur notre trajet Séville-Jerez de la Frontera, au sommet de pratiquement tous les poteaux supportant des fils électrices prend place un, et même souvent plusieurs, énorme nid de cigogne!